« L’ Arche de l’Alliance » la plus grande a été exposée au public pour la première fois à Jérusalem, elle a été placée sur un camion devant la Cour suprême et le ministère des Affaires étrangères à Jérusalem.

« L’Arche de l’Alliance » a été fabriquée et financée grâce à Galindez Gofna, 52 ans, une non juive des Philippines qui aime Israël.

« L’arche de l’Alliance » a été construite par 12 artistes professionnels, pendant 4 mois, et selon les détails précisés sur la Thora et du livre de l’Exode.

Le monument inclut les deux chérubins en or par dessus « l’Arche ». Pour rappel l’Arche est un signe de témoignage, qui selon la tradition juive a été placé dans le Tabernacle et porté par les enfants d’Israël dans le désert, et lorsqu’ils sont entrés dans Canaan, en Israël, ils l’ont placé dans l’endroit le plus sacré, le  Temple de Jérusalem construit par le roi Salomon.

Le poids de l’arche est de 800 kg, et est d’une hauteur d’environ trois mètres, avec une longueur de plus de 5 mètres et une largeur de 1,6 mètres. Elle est faite avec des barres de bois spéciales et du fer. Les chérubins sont de pierre et recouverts d’or.

C’est « l’Arche » la plus grande au monde,  et elle sera probablement au Guinness Book of Records.

 

2 Commentaires

  1. Shalom,

    « C’est « l’Arche » la plus grande du monde  » dites-vous; comparée à l’originale quel est le rapport?
    « Elle est faite avec des tiges de bois spéciales faites de fer »; c’est du bois, c’est du fer… mais faire du bois avec du fer, alors là, ness!
    Merci pour vos éclaircissements.Carmel

  2. Shalom,

    je m’aperçois que vous avez bien reçu mon précédent commentaire et aussi que vous avez évité de le publier.Votre texte est rectifié, c’est l’essentiel.

    En observant une vue plus globale sur https://www.rtl.be/info/monde/international/1034926/la-plus-grande-copie-de-l-arche-d-alliance-presentee-a-jerusalem, 2 erreurs de construction apparaissent à mon sens:

    L’arche repose, étonnamment, sur pieds et pourtant Rachi(Chemot XXV-10) précise: « Ils feront une arche Comme les armoires que l’on fait sans pieds, en forme de coffrets et posées à même le sol, que l’on appelle en français médiéval : « escrin ». »

    D’autre part, pourquoi certains s’évertuent-ils à reproduire l’Arche avec les barres parallèles à la longueur de l’ouvrage? Très peu logique à mon sens:lequel des chérubins doit-il ouvrir la marche et de surcroit à reculons?(cela risquerait de faire des jaloux). La voix divine sortait d’entre les chérubins(RachiXXV-22), donc cette vue (longueur) est celle devant laquelle on se présente -donc,la ou les faces-, et par conséquent les largeurs sont les cotés ou flancs.

    Pour couronner le tout citons encore Rachi(Chemot XXV-12): « Ses coins: Ainsi que le rend le Targoum Onqelos. On fixait les anneaux aux coins supérieurs, près du couvercle, deux d’un côté et deux de l’autre, dans le sens de la largeur de l’arche, les barres y étant disposées. La longueur de l’arche opérait une séparation entre les barres, à une distance de deux coudées et demie l’une de l’autre, permettant ainsi aux deux hommes qui portaient l’arche à chacune de ses extrémités de marcher côte à côte. Ainsi est-il expliqué dans le traité Mena‘hoth, chapitre 11 (98b).
    Et deux (ouchtei) anneaux à l’un de ses flancs Ce sont les mêmes « quatre anneaux » dont il est question au début du verset, dont on explique ici comment ils étaient disposés. Le waw qui figure au début du mot ouchtei (« et deux ») est explétif, de sorte qu’il faut comprendre l’expression comme s’il y avait simplement : « deux anneaux », c’est-à-dire : « deux de ces anneaux à l’un de ses flancs ».
    A l’un de ses flancs (tsal‘o – littéralement : « sa côte ») : Le mot tsal‘o veut dire : « son flanc ». »

    Je suis curieux de connaitre plus précisément les références sur lesquelles ces 12 artistes professionnels se sont appuyés pour construire cette arche.

    Hag sameah