L’avocat Ephraim Demari, qui représente le principal suspect dans l’affaire Sde Teman, a été interviewé ce matin (mardi) par Shay Golden dans l’émission « Israel Morning » au sujet de l’arrestation des suspects et a parlé, entre autres, des émeutes, de l’arrestation et a présenté les visages macabres des terroristes de la Noh’ba dans une interview sans censure.
L’avocat a commencé en disant : « J’étais là hier avec nos combattants dans leur heure difficile. Depuis leur recrutement le 7 octobre et jusqu’à aujourd’hui, les combattants ont quitté leurs foyers, leur gagne-pain, leurs familles et leurs enfants, et ont tout donné pour nous protéger de la vermine du genre humain. Je ne qualifierai pas les terroristes d’animaux, c’est même un compliment pour eux. Ce sont des combattants qui ont été convertis à des rôles de combat dans une unité spéciale. »
« Comprenez, il n’y a aucune preuve contre les combattants. J’étais là et j’ai donné des conseils à ceux qui en avaient besoin. On dit qu’il y a des photographies, mais il n’y a rien dedans. Je ne veux pas perturber l’enquête, c’est pourquoi je n’entre pas dans les détails des photos. La police continuera à enquêter, et comme elle m’a invité aujourd’hui, elle m’invitera à nouveau dans le futur. Les gens devront rendre des comptes, démissionner et il y aura des procès personnels. »
Ce sont les témoignages de terroristes meurtriers. Le plaignant est un député du Hamas à Sheja’iyah qui accuse nos combattants d’abus. Il a donné aux terroristes des instructions sur la façon de violer et de brûler les bébés et à ceux qui ne le savaient pas, il lui a appris quoi faire ! Cet homme est immoral ! Chaque jour, un morceau de son corps doit être coupé alors qu’il est torturé et non épargné ! Le terroriste est arrivé à l’hôpital et c’est dommage qu’il n’y soit pas mort : il devrait être tué ! C’est dommage de mettre en garde à vue un réserviste qui le gardait. »
Ils attribuent le châtiment à l’acte de Sodome et Gomorrhe. On ne peut pas y violer et on ne peut pas commettre d’actes obscènes, le lieu est filmé 24h/24 et 7j/7 à Sde Teman. Il est impossible de commettre des actes illégaux sous les caméras. Il existe des normes entre les guerriers et les mortels. Les plaintes sont des traces de sang. Les chercheurs ne savent pas ce que vivent nos combattants ni les conditions dans lesquelles ils sont confrontés. C’est une hallucination.
Ils savent que nous sommes « éclairés » et que nous voulons nous justifier devant le monde entier. Je veux voir le même enquêteur et procureur assis pendant une heure au poste de garde, dans la chaleur de Sde Teman avec tout ce qui se passe là-bas – c’est inhumain.
Les combattants sont sous la garde de la police militaire et leur statut juridique est le même que celui de toute autre personne dans l’État d’Israël. Ils seront présentés devant un juge pour une évaluation de leur détention. Le juge devra examiner des preuves pour décider de la suite de l’enquête.
Les combattants sont des réservistes, ont des familles et des enfants, qui ont tout quitté pour servir le pays. Ils doivent être accueillis et soutenus. Certains ont souffert de la fermeture d’entreprises. Il est nécessaire de présenter des excuses aux soldats de Tsahal et au peuple israélien. Nous parlons de véritables héros qui ont consacré leur vie à nous protéger. »