Il y a des vérités qui claquent comme des gifles, surtout quand elles sont proférées par ceux qui connaissent les arcanes du renseignement. Pierre Martinet, ancien agent du service action de la DGSE, n’a pas mâché ses mots lors de son passage dans l’émission #LePrime : « Le 8 octobre, Macron voulait créer une coalition pour faire tomber le Hamas… on l’attend toujours ! »
Un constat amer mais ô combien lucide, alors que la France, fidèle à sa tradition de grandes déclarations creuses, n’a jamais donné suite à cette promesse faite au lendemain du pogrom du 7 octobre, où le Hamas a perpétré le pire massacre de civils juifs depuis la Shoah. Souvenons-nous : au lendemain de cette boucherie, Macron s’était fendu de paroles martiales, appelant à une coalition internationale sur le modèle de celle formée contre Daesh. Beaucoup y avaient cru. Mais à l’arrivée ? Silence radio. Pire, la France s’est depuis livrée à un grand écart diplomatique permanent, jonglant entre condamnations de façade du Hamas et complaisance calculée vis-à-vis de la « cause palestinienne ».
Pour Pierre Martinet, c’est simple : la France n’a ni la volonté politique ni le courage stratégique de mener une lutte frontale contre le Hamas. Et pour cause : cette confrontation impliquerait de s’attaquer non seulement aux ramifications financières et politiques de l’organisation terroriste, mais aussi de lever le voile sur les complicités idéologiques qui gangrènent l’Europe, y compris en France.
En Israël, cette imposture française ne passe pas. Le Hamas, reconnu comme organisation terroriste par l’Union européenne, continue pourtant d’avoir ses relais dans les milieux islamo-gauchistes, dans certains syndicats, dans les universités françaises et bien sûr sur les réseaux sociaux. Quant à l’hypothétique coalition anti-Hamas, elle reste un vœu pieux tant que la France et ses alliés européens n’auront pas le courage de désigner l’ennemi clairement.
Dans l’ombre, les véritables alliés d’Israël dans cette guerre existent : les États-Unis de Trump, qui n’a jamais eu la langue de bois sur le Hamas, certains pays arabes modérés qui ont signé les Accords d’Abraham, et bien sûr Israël lui-même, qui paie chaque jour le prix du sang pour éradiquer la pieuvre islamiste de Gaza.
Il est également utile de rappeler que pendant que Paris palabre et tergiverse, Tsahal mène une guerre sans relâche pour démanteler les infrastructures du Hamas, détruire ses tunnels, neutraliser ses chefs et libérer les otages. Une guerre de civilisation contre la barbarie islamiste, qui ne souffre pas les faux-semblants diplomatiques.
Les médias israéliens, notamment Infos-Israel.News, documentent au quotidien cette guerre menée par Israël pour sa survie :
https://infos-israel.news/category/alerte-info-24-24/
https://infos-israel.news/category/solidarite-avec-nos-soldats-de-tsahal/
https://rakbeisrael.buzz/
https://alyaexpress-news.com/
Le message de Martinet est clair : la lutte contre le terrorisme ne se gagne pas avec des mots, mais avec des actes. Et tant que l’Occident, France en tête, préférera ménager les opinions publiques islamisées et les ONG bien-pensantes, il restera complice, de fait, de l’expansion du terrorisme.
Les Israéliens, eux, n’attendent rien de Paris. Ils savent que leur survie ne dépend que de leur force, de leur détermination et du soutien indéfectible de la diaspora et de ceux qui n’ont pas peur de nommer le mal : le Hamas, le Hezbollah, l’Iran, et tous leurs alliés conscients ou idiots utiles en Europe.
Liens utiles :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Martinet
https://fr.wikipedia.org/wiki/Hamas
https://fr.wikipedia.org/wiki/Accords_d%27Abraham