Bar Rafaeli, le célèbre modèle israélien, a été interrogée par les autorités fiscales, soupçonnée d’évasion fiscale suite à des avantages de plus de 1 million de shekels sur son statut de célébrité.

Entre autres allégations, des responsables gouvernementaux accusent la suspecte, Rafaeli, de ne pas avoir payé le loyer de son appartement à Tel Aviv, après un arrangement avec un architecte d’intérieur en échange de publicité pour son entreprise. Elle aurait reçu un véhicule de la compagnie en échange de publicité, sans signaler ces transactions aux autorités fiscales.

La Cour de district a statué que la jeune nouvelle mariée ne pourra pas quitter le pays pour  les six prochains mois, sauf avec l’approbation des autorités, et après le dépôt d’une garantie de 250 000 NIS. Ajouté à cela, un tiers doit fournir une garantie de 500 000 NIS en son nom.

Les avocats de Rafaeli ont rejeté les accusations portées contre leur cliente :

« Ceci est une question d’impôt qui soulève des questions au sujet de qui est considéré comme un résident d’Israël », a déclaré Giora Aderet.

Bar Rafaeli a été interrogée pendant 12 heures dans les bureaux de l’administration fiscale à Tel-Aviv, et a été convoquée pour un deuxième interrogatoire ;.elle a été appelée après une recherche initiale sur les sociétés qu’elle pourrait posséder.
« Selon les soupçons, la tentative de dissimuler ces faits étaient destinées à laisser penser que le modèle ne possède pas de liens avec Israël, et ainsi à éviter de déclarer des revenus de ces opérations », c’est ce que l’administration fiscale va faire valoir devant le tribunal.
Selon la mère de Bar Rafaeli, toutes ces accusations viennent de fausses informations.