Un rapport explosif du New York Times a révélé qu’Israël avait planifié une attaque contre les installations nucléaires iraniennes pour le mois prochain, mais que l’opération a été bloquée par l’ancien président américain Donald Trump, qui aurait relancé des négociations avec l’Iran lors de sa récente rencontre avec le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahou.
Fait notable dans ce projet : Israël envisageait non seulement une attaque aérienne, mais aussi une infiltration de commandos dans des installations souterraines iraniennes, ce qui constitue une approche inhabituelle.
Une opération au sol abandonnée faute de temps
L’idée a finalement été abandonnée, selon les sources, en raison d’un délai de préparation insuffisant. Mais le projet incluait une opération terrestre coordonnée avec des frappes aériennes, visant à pénétrer dans des installations situées en profondeur sous terre, difficiles à détruire depuis les airs.
Un précédent en Syrie : l’opération « Multichemins »
Israël a déjà démontré sa capacité à mener ce type de mission. En septembre dernier, des forces spéciales israéliennes ont réussi à infiltrer un complexe souterrain iranien en Syrie, lors de l’opération baptisée « Rabot HaDerachim » (Multichemins).
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :