Ce n’est pas une rumeur ni une archive du 7 octobre : les images sont bien récentes. Dans les rues dévastées de Gaza, le Hamas a organisé une macabre démonstration de force, exhibant les corps de dizaines de Palestiniens exécutés ces dernières heures. Selon des témoins cités par Reuters et AFP, les victimes étaient accusées d’avoir « collaboré avec Israël » ou simplement d’avoir critiqué la direction du mouvement islamiste. Une scène d’horreur saluée par les cris d’une foule apeurée mais soumise — preuve supplémentaire que le Hamas n’a pas changé : il règne sur Gaza par la terreur.
Des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux montrent des pick-up roulant à vive allure dans les ruelles de Jabaliya et de Rafah, transportant des corps mutilés, parfois pendus à des poteaux. Des hommes armés paradent autour des cadavres, brandissant le drapeau vert du Hamas. D’après BBC Arabic, les exécutions ont commencé dès le lendemain de la trêve signée avec Israël, au moment même où la communauté internationale saluait « une accalmie bienvenue ». En réalité, cette accalmie n’existe pas : Gaza est redevenue une prison à ciel ouvert, dirigée par un régime qui n’hésite pas à massacrer ses propres habitants pour affirmer son autorité.
Le porte-parole de Tsahal a réagi avec une indignation glaciale : « Ce que nous voyons aujourd’hui à Gaza prouve qu’aucun accord n’a jamais pu humaniser le Hamas. Ceux qui prétendent parler au nom du peuple palestinien exécutent ce peuple en direct. » Dans un communiqué relayé par Infos-Israel.News – Alerte Info 24/24, plusieurs familles d’otages ont appelé la communauté internationale à « regarder la vérité en face » : l’organisation islamiste n’a jamais été un mouvement de résistance, mais une machine à broyer.
Cette vague d’exécutions intervient alors que le plan de paix en vingt points, négocié sous l’égide de Donald Trump, entre dans sa deuxième phase. Israël a respecté ses engagements : retrait partiel des troupes, libération des otages, ouverture humanitaire. Le Hamas, lui, n’a tenu aucune promesse. « Ce qui se déroule actuellement est une purge interne », explique un analyste sécuritaire au Jerusalem Center for Public Affairs. « Le Hamas élimine les témoins de ses propres crimes pour éviter toute contestation. » Les vidéos des défilés macabres rappellent les heures les plus sombres de Daech : un pouvoir fondé sur la peur, une idéologie religieuse qui glorifie la mort et un peuple otage d’un régime fanatique.
Ces exécutions publiques ne sont pas seulement un acte de barbarie, mais aussi un message politique : le Hamas entend montrer qu’il contrôle toujours la bande de Gaza malgré l’accord international et la pression du Qatar. En assassinant des civils palestiniens, il rappelle à tous — y compris aux pays arabes médiateurs — que la seule voix tolérée à Gaza est la sienne. Pourtant, cette démonstration de force pourrait se retourner contre lui. Dans plusieurs camps du sud, des familles palestiniennes osent désormais dénoncer le “pouvoir des bourreaux”. Une résistance silencieuse, mais réelle, à laquelle Israël pourrait un jour tendre la main.
À Jérusalem, les images du défilé macabre ont suscité la stupeur. Dans les rangs du gouvernement, un sentiment domine : l’accord actuel n’est qu’une parenthèse. Pour qu’une paix durable voie le jour, le Hamas doit disparaître — pas être réhabilité. Comme l’a résumé un ministre israélien : « On ne signe pas la paix avec ceux qui pendent leurs frères dans la rue. »
Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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