Depuis les actes terroristes du 9-11, le terme « Djihad » est connu partout dans le monde. Les attentats du 9-11 et les 25,500 attaques mortelles de ces organisations sont considérées comme du Djihad. Ce sont des attaques soudaines, violentes et mortelles qui sont destinées à terroriser une personne / une nation pour la soumission à l’Islam.

Mais, il y a une forme plus pernicieuse, une forme non-violente du Jihad qui est plus, une menace à la liberté que le genre qui vous réveille comme une alarme incendie lors d’un danger, une menace qui se trouve dans notre milieu …

La forme non-violente du djihad se trouva dans de telles situations :

– Les histoire révisionnistes, l’endoctrinement (comme dans le cas des manuels scolaires de l’Autorité Palestinienne ou du Hamas).
– Le projet « lawfare » qui signifie «l’utilisation de la loi comme un arme de guerre » ou, plus précisément, l’abus de lois occidentales et les systèmes judiciaires à des fins politiques ou militaire stratégique ».
– L’islamophobie : un terme faux créé par des islamistes qui veulent fouetter verbalement les infidèles en ligne et veulent créer la peur de l’Islam basée sur l’ignorance. Cette arme est utilisée chaque fois que quelqu’un révèle la vraie nature de l’idéologie de l’Islam. Elle est utilisée comme la lame d’un assassin pour tuer le caractère du messager… Un peu comme le terme raciste.
– Le marxisme culturel, qui nie la réalité biologique de sexe et de la race et fait valoir que le sexe et la race sont des «constructions sociales». Des marxistes culturels qui soutiennent les politiques identitaires fondées sur la race de non-blancs. C’est l’une des armes utilisées contre l’Occident, malgré le fait que l’islam peut être trouvé dans toutes les cultures, pays et dans toutes les couleurs de la peau sur le globe… Y compris la race blanche.

La plupart des gens sont naturellement trop occupés à travailler et prendre soin de leurs familles et réaliser les conceptions de ces tyrans sur leur mode de vie. De plus et malheureusement, nous sommes aux prises avec les politiciens qui sont trop occupés à tracer leur prochaine victoire politique et n’agissent pas avec l’efficacité qui se doit pour éradiquer ce danger planétaire.

Le Djihad Soft peut être comparé à une bouilloire en ébullition : c’est une grande mise en garde pour les gens qui doivent se rendre compte de l’évolution  progressive (froid au bouillant / Djihad soft au Djihad violent) qui peut causer des souffrances éventuelles avec des conséquences indésirables et irréversibles.

Le Jihad Soft (léger) de l’Islam n’est pas un ami des peuples libres. Et la seule façon de l’empêcher est de gagner la victoire sur nos libertés et repousser cette idéologie… comme tout autre dogme fasciste.

Est-ce une urgence ? Oui, car comme l’a dit John Adams:

«Liberté, une fois perdue, est perdue à jamais. »