Le Comité de l’éducation de la Knesset a discuté ce matin (mercredi), la décision du ministère de l’éducation de ne pas introduire dans les institutions scolaires le programme de «couverture» de l’écrivain Dorit Rabinyan, en partie du fait que le livre « Gueder haya » est un roman entre une Juive et un prisonnier palestinien.

Le Comité pédagogique de ministère de l’Education a justifié sa décision : « A l’âge de l’adolescence, il n’y a pas de vue d’ensemble sur l’importance de sauver l’identité des gens et le sens grave de l’assimilation ».

Le Président du Comité de l’éducation a exprimé son soutien à la décision de rejeter le livre, « Nous nous battons en Israël contre l’assimilation et l’Etat investit beaucoup d’efforts. Ceci est une menace stratégique non moins que d’autres menaces », a-t-il dit.

Dalia Fanning, un membre de l’audience du comité pédagogique a déclaré que « la critique est une chose bienvenue, aussi longtemps que cela vient quelque part de la réalité ». Elle a souligné que le ministre de l’Education Naftali Bennett n’a pas été impliqué dans la décision et les considérations qui ont conduit à la disqualification du livre étaient professionnelles.

La plupart des ministres comme Ben-Ari se sont opposés à l’introduction de ce livre :  « Je souhaite que chaque écrivain soit disqualifié par de tels livres ».

MK Yoel Hasson (camp sioniste) a suggéré, cyniquement, les noms de d’ autres livres qui peuvent invalider tels que «Dans la terre d’Israël, » de Amos Oz et «1967», de Tom Segev. « qui sont pour lui des bombes à retardement.

Le risque avec de tels livres ne se limite pas qu’à la conservation de l’identité du peuple juif, mais cette assimilation en Israël peut entraîner une faille au sein de la sécurité.

Il y a eu déjà dans le passé, le cas de quelques soldates juives qui ont donné leur armes à leur petits amis arabes, par amour. Il faut savoir que pour la communauté arabe et palestinienne, se marier avec une femme juive et la convertir est une autre forme de djihad et de stratégie de guerre.

C’est un peu comme ci une jeune Juive des camps voulait se marier avec un nazi, la charte palestinienne et de l’OLP mentionne bien aussi la destruction du peuple juif en terre d’Israël, comme l’avait décidé Hitler dans le monde.

Il n y a pas de racisme ou d’apartheid, dans le fait de lutter contre l’assimilation, ce sont surtout des précautions pour la sécurité du peuple juif touché quotidiennement par les attaques terroristes de ces mêmes palestiniens.