Après l’annulation du mariage entre Michael Mor et l’ancienne gardienne de prison Yan Friedman, suite à la découverte d’objets interdits dans la cellule du chef du réseau criminel, l’administration pénitentiaire israélienne précise qu’il est fort probable qu’elle rejette toute future requête de Mor visant à fixer une nouvelle date pour le mariage :
« Il n’est pas différent de tout autre détenu », déclarent-ils.
Le chef de l’organisation criminelle, Michael Mor, devra déposer une nouvelle requête concernant la fixation d’une nouvelle date de mariage, après que l’administration pénitentiaire a annulé celui-ci pour cause d’infractions disciplinaires. Toutefois, des sources internes précisent que la probabilité que cette demande soit acceptée est faible.
« Dès qu’il a commis une infraction disciplinaire, le mariage a été annulé et non reporté — cela lui a été clairement indiqué », insiste un représentant de l’administration pénitentiaire. « S’il souhaite fixer une nouvelle date, il devra présenter une requête, et nous déciderons alors si nous y répondons favorablement ou non. Il y a de fortes chances qu’elle soit rejetée. Michael Mor n’est pas différent des autres prisonniers. »
Mor a mené pendant près de six mois un combat juridique pour obtenir l’autorisation de se marier en prison avec l’ancienne gardienne Yan Friedman. À l’aide de ses avocats Doron Noï, Yehli Shperling et Elia Chen-Barak, il a finalement réussi à obtenir une décision judiciaire forçant l’administration pénitentiaire à permettre la cérémonie en détention.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
