Ce samedi, dans la ville syrienne de Houla, 108 personnes ont été assassinées par les forces du président Assad, dont 32 enfants.

[intlink id= »430″ type= »page »]INSCRIVEZ VOUS A LA NEWSLETTER [/intlink]

Les vidéos prisent à Houla montrent des victimes civiles-avec des morceaux de corps en moins, des blessures qui n’apparaissent pas comme des victimes des guerres qui se trouvaient au mauvais moment et au mauvaise endroit.

Les victimes de Houla montrent des traces révélatrices de meurtres , le résultat d’armes à feu pressés contre la tête , des traces de couteaux enfoncés profondément dans la gorge.

Ces victimes-ci comprennent des enfants, ce qui devient de plus en plus fréquent en Syrie. Dans ce genre de guerre, il y a  les Alaouites minoritaires, qui dirigent le pays, et  la plus importante communauté sunnite (y compris les résidents de Houla).

Ban Ki-moon a dit qu’il n’y a pas pour l’ONU un «Plan B» en Syrie. Le Plan A, pour résumer grossièrement, repose sur la bonne volonté et un changement de volonté de la part du régime Assad et les rebelles qu’il combat.

Le cas est le suivant :

Que doit-on faire quand les hommes deviennent capables de couper la gorge d’un petit enfant?

Que fait on quand les hommes deviennent sont capables de sabrer la gorge d’un petit enfant?

Par exemple, le cas des hommes qui peuvent [intlink id= »1520″ type= »post »]décapiter la tête d\’un bébé de trois mois[/intlink], comme celui de la famille d’Itamar ?

Comment dois réagir l’Onu fasse a la Syrie, mais aussi face à des « palestiniens » qui peuvent entrer dans une maison la nuit et tuer avec la même méthode et la même sauvagerie les enfants de Houla ?

La question se pose, elle est évidente, car la tuerie de Itamar a été complétement ignorée des médias comme de l’Onu ou les différentes associations des droits de l’homme ?

Pourquoi les « palestiniens  » n’ont ils droit au plan A de Ban Ki-moon  ?