Michael Mannion et Trish Corbett de l’Institut Mindshift, qui met l’accent sur la diffusion des connaissances scientifiques, ont célébré l’anniversaire tardif de Imich la semaine dernière avec lui, et on eu soif de sa connaissance. Le couple s’est rencontré dans les années 1990 à l’École IM de Healing Arts à Manhattan.

Imich est né dans une famille de juifs laïcs en 1903 à Czestochowa, en Pologne. Son objectif était de devenir un capitaine de la marine polonaise, mais à cause de son héritage juif, il n’a jamais vu cela se produire. Au lieu de cela, il vise à devenir un zoologiste. Mais il va finalement travaillé dans le domaine de la chimie et a obtenu son doctorat à l’Université Jagellonne, à Cracovie.

En 1939, après que les nazis ont envahi la Pologne, Imich et sa femme ont fui vers l’est occupée par les Soviétiques, où ils ont été envoyés dans un camp de travail. Ils ont finalement été libérés et renvoyés en Pologne, où ils ont découvert que beaucoup de membres de leur famille ont été tués pendant la Shoah.

Ils ont émigré à Waterbury, dans le Connecticut en 1951. Après le décès de Wela en 1986, Imich s’est déplacé à New York dans un appartement qui est finalement devenu une résidence pour personnes âgées appelé l’Esplanade.

Un jeune émissaire ‘Habad le rav Pinny Marozov a découvert M. Imich l’a aidé à mettre les Téfilines et lui a fait apposer une Mezouza à sa porte.. De l’avis de Marozov, monsieur Imich n’avait probablement pas  mit les Téfilines depuis sa Bar Mitzvah – il y a près d’un siècle – à Czestochowa au, en Pologne.

Suite à la publication dans la presse de l’événement un immense élan de solidarité s’est manifesté dans la communauté juive de NY pour assister 24h/24 cette homme

Et même après toutes ces tribulations de la vie, Imich a encore son sens de l’humour.