Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz, a annoncé aujourd’hui (mercredi) que des avions de chasse de l’armée de l’air israélienne ont détruit le siège des forces de sécurité intérieure du régime iranien, l’un des principaux outils de répression à Téhéran. Cette attaque s’inscrit dans la stratégie israélienne de frapper les symboles du pouvoir du régime iranien tout en différenciant clairement le régime de sa population civile.

L’opération s’est déroulée dans le cadre d’une série de frappes menées par Tsahal contre des cibles iraniennes et est considérée comme une nouvelle atteinte significative aux institutions du régime des ayatollahs.

« La tornade continue de frapper Téhéran », a déclaré Israël Katz à la suite de cette frappe.
« Comme nous l’avons promis, nous continuerons à viser les symboles du pouvoir et à frapper le régime des ayatollahs partout où cela sera nécessaire », a-t-il ajouté, réaffirmant son engagement à affaiblir les capacités du régime tout en préservant les civils.

Un coup stratégique porté à la machine de répression

Le siège de la Sécurité intérieure iranienne, frappé par Israël, est considéré comme l’un des organes de répression les plus puissants du régime islamique. Sa destruction représente un coup dur pour le contrôle interne exercé par le pouvoir de Téhéran.

Cette attaque fait partie d’un plan plus large dans lequel Israël s’efforce de cibler les structures de commandement, les services de renseignement et les installations militaires du régime, avec l’objectif de réduire sa capacité à réprimer sa propre population.

Selon certains analystes, cette stratégie pourrait favoriser à moyen terme un affaiblissement du régime, voire, dans certaines circonstances, encourager un soulèvement interne ou une transition politique en Iran.

Une cible légitime : la machine de terreur du régime

Le ministre de la Défense Israël Katz l’a clairement exprimé : « La tornade continue de frapper Téhéran. » Cette tornade, loin d’être aveugle, cible avec précision les nerfs du pouvoir autoritaire iranien. En détruisant un centre névralgique du contrôle interne iranien, Israël ne cherche pas à punir un peuple, mais à démanteler les structures qui l’oppriment.

La Sécurité intérieure iranienne est l’instrument de la peur quotidienne : elle traque les manifestants, écrase les dissidents, torture les opposants politiques, et fait taire les femmes qui osent réclamer leur liberté. En s’en prenant à cette institution, Israël envoie un message : ce régime ne pourra pas réprimer ses citoyens en toute impunité tout en menaçant la région.


Distinguer le régime de son peuple

Israël n’est pas en guerre contre les Iraniens. Bien au contraire. Depuis des années, les responsables israéliens affirment leur solidarité avec le peuple iranien, victime de son propre gouvernement. Le peuple d’Iran est courageux, résilient, et aspire à la liberté, à la dignité et à la paix.

C’est pourquoi la politique israélienne distingue clairement entre les cibles militaires et les populations civiles. Contrairement à l’Iran, qui tire des missiles sur des hôpitaux comme Soroka à Beer-Sheva, Israël agit dans le cadre du droit international : neutraliser les structures du pouvoir et les capacités militaires du régime, sans nuire aux innocents.


Une riposte proportionnée à l’agression

Le droit international reconnaît à tout État le droit de se défendre face à une agression. L’Iran, en lançant plus de 30 missiles vers Israël, a commis un acte de guerre clair. Ces attaques ont visé délibérément des hôpitaux, des centres urbains, des civils – ce qui constitue un crime de guerre au regard des conventions de Genève.

La réponse israélienne, mesurée mais ferme, s’inscrit dans une logique de dissuasion et de protection. Le bombardement du réacteur nucléaire d’Arak, les frappes contre des installations militaires, et maintenant contre les centres de répression intérieure ne visent pas l’escalade, mais la désescalade par la force du message : Israël ne tolérera aucune attaque contre sa population, ni aujourd’hui ni demain.


Pour une paix durable, il faut affaiblir les tyrans

Le régime iranien finance le terrorisme au Liban, à Gaza, en Syrie, au Yémen. Il opprime son propre peuple et appelle à la destruction d’Israël. Il poursuit un programme nucléaire menaçant malgré les résolutions internationales. Ce régime est l’obstacle principal à la stabilité du Moyen-Orient.

En frappant ses organes de répression, Israël agit non seulement pour sa propre sécurité, mais aussi pour l’avenir du peuple iranien et la paix dans la région. Un Iran démocratique, libre, et en paix avec ses voisins est non seulement souhaitable – il est possible. Mais cela passera, tôt ou tard, par la chute de ce régime de terreur.


Conclusion : une guerre juste, une responsabilité morale

Israël ne cherche pas la guerre, mais il ne peut pas se permettre la faiblesse. Lorsqu’un hôpital israélien est visé par un missile, lorsqu’un bébé en soins intensifs devient une cible, le silence serait une trahison. La frappe contre le centre de sécurité intérieure iranien est un acte juste, nécessaire, et porteur d’un espoir : celui de briser les chaînes de la peur à Téhéran, et de défendre la vie à Tel Aviv.

🎁 Coupons exclusifs AliExpress
Réservés aux lecteurs de Infos-Israel.News – Profitez-en avant le 30 juin 2025 !
💵 Réduction 💰 Minimum d'achat ⏳ Valide jusqu'au 🔗 Lien
33 $ 239 $ 30 juin 2025 Utiliser ce bon
18 $ 130 $ 30 juin 2025 Utiliser ce bon
3 $ 20 $ 30 juin 2025 Utiliser ce bon
90 $ 599 $ 30 juin 2025 Utiliser ce bon
10 $ 69 $ 30 juin 2025 Utiliser ce bon