L’organisation État islamique, avec l’aide des combattants du Front al-Nosra, l’ex-branche d’Al-Qaïda, s’est emparée en avril 2015 du camp de Yarmouk avant d’en expulser un an plus tard son rival jihadiste.
Yarmouk vit assiégé depuis juin 2013. Les habitants y survivent dans la désolation et un dénuement extrême. Avant la dernière offensive du régime, en cours depuis le jeudi 19 avril, quelque 6 000 réfugiés palestiniens y vivaient encore, et 6 000 dans les alentours, selon l’Agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (UNRWA).
Article aimé par nos lecteurs
BDS, l’UE, les gauchistes, le Hamas, le Hezbollah, ou l’Iran n’en font pas cas. Seuls les palestiniens d’Israël sont « intéressants ».