Le 3 janvier 2020, Qassem Soleimani est tué à sa sortie de l’aéroport de Bagdad par une frappe de drone ciblée ordonnée par le président des États-Unis Donald Trump en représailles à l’attaque du 31 décembre 2019. Abou Mehdi al-Mouhandis, numéro deux de la coalition de paramilitaires Hachd al-Chaabi et chef des Kataeb Hezbollah, quatre officiers du Corps des Gardiens de la révolution islamique et quatre autres membres du Hachd trouvent également la mort lors de ce raid.

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Qassem Soleimani est né le 11 mars 1957, dans la ville de Rabour, dans la province de Kerman, en Iran, d’une famille pauvre vivant de l’agriculture.

Soleimani est inconnu, méconnu d’une large fraction des spécialistes de la communauté du renseignement, mais qui été une principale menace pour les Israéliens, et les américains.

Selon ce site, le père de Qassem Suleimani était un paysan juif de Kerman triplement farsi, en tant que chiite, en tant que révolutionnaire, en tant que combattant pour la libération de la Palestine.

Son père, Hassan Soleimani est décédé dans la ville de Kerman, dans le sud du pays, à l’âge de 95 en 2017.

La plupart des médias iraniens ne relève pas ce « détail » de judaïcité du père de Suleimani, si ce n’est la source dans notre article. Pour rappel, un enfant issu d’un père Juif n’est pas considéré comme Juif car la judaïcité ne passe que par la mère.