Ce dimanche, le secteur arabe a organisé une manifestation générale suite (selon leurs propos) à « l’assassinat de sang-froid de l’un des leurs». De nombreux Arabes israéliens ont condamné l’action de la police qui a tué un homme qui les menaçait à Kfar Qana.

Le département des enquêtes internes de la police du ministère de la Justice (Mahasaya) a annoncé l’ouverture d’une enquête sur l’incident. Le chef de la police Yohanan Danino a donner l’ordre à la police à travers le pays de se positionner en état d’alerte maximale.

Le Premier ministre Benjamin Netanyahu, évitant de commenter l’incident lui-même, a proféré des menaces contre les participants qui a provoqué les violentes émeutes arabes.

Netanyahu a déclaré qu ‘«Israël est un Etat de droit. Nous ne tolérerons pas les violations de la loi au sein du pays. Nous allons prendre des mesures contre les émeutiers, contre ceux qui bloquent les routes et qui propose la mise en place d’un Etat palestinien à la place d’Israël. Ceux qui ne respectent pas la loi israélienne, seront passibles de sanctions sévères ».

Le chef du gouvernement a également déclaré avoir donné des instructions au Ministre de l’Intérieur « pour vérifier la possibilité de révoquer la citoyenneté de ceux qui appellent à la destruction d’Israël ».

Alors que les membres des partis « Avoda » et « Meretz », et les partis arabes ont exprimé l’indignation à l’action de la police à Kfar Cana et ont exigé une enquête rapide et indépendante. Le leader du parti « Habait Hayehoudi », Naftali Bennett a approuvé la liquidation des «terroristes arabes» et a déclaré que c’est une action qui a pour seul objectif : notre sécurité.

 

3 Commentaires

  1. Il faut liquider d’abord Haaretz et tous les gauchos antijuifs d’Israël. Ces gens ne devraient même pas vivre en Israël et devraient rendre leur carte d’identité.

  2. Nee en Tunisie, je dois dire que j’aime beaucoup les Arabes Israeliens (et Tunisiens) Mais ceux-la, il faut effectivement les expatrier vers la Syrie ou l’Iran ou leur sort sera vite regle en cas de contestation.