L’empire du milliardaire franco-israélien Patrick Dray, propriétaire des sociétés de télécommunications et de médias israéliennes HOT, HOT Mobile et i24news, est dans un piètre état.
Le prix des actions de son consortium Altice a chuté de 34% depuis le début du mois. Au cours des deux dernières semaines, la chute a atteint plus de 40%. La fuite des investisseurs a été causée par la publication des résultats d’Altice lors du dernier trimestre.
Les possessions israéliennes de Patrick Drahi sont comparables à une petite pièce pour les domestiques dans un grand palais royal car les autres entreprises membres du consortium s’étendent vers la France, du Portugal, du Benelux à l’Amérique du Sud et du Nord et à l’Afrique.
Sur tous ces continents, il possède les plus grands fournisseurs d’accès Internet et de télévision ainsi que divers médias électroniques et imprimés.
La perte de revenu et la fuite des investisseurs est si grande que le milliardaire s’est rendu il y a quelques jours dans la banlieue de Paris à Saint-Denis pour convaincre 10 mille employés du plus grand fournisseur de services Internet SFR de la France, qu’il a une stratégie de sortie de la crise.
Pendant ce temps, chaque jour apporte une perte. L’action Altice a encore perdu 13,17%, elle n’est plus que de 8,9 euros (après 23 euros en juin 2017), c’est-à-dire que pendant 4 mois le consortium a perdu les trois quarts de sa valeur. Selon Le Figaro, les pertes s’élevaient déjà à 13,5 milliards d’euros, et sa filiale américaine – la société Cablevision, acquise il y a deux ans – a perdu 11,8 milliards d’euros.
En Israël, les choses vont juste, pas trop mal : selon un rapport publié au début de Novembre, les revenus ont augmenté au cours du dernier trimestre à 87 millions de shekels, et le résultat net a augmenté d’un bond de 139%, soit 74 millions de shekels.
L’analyste de la publication économique française La Tribune écrit que, ces dernières années, Altice a poursuivi une politique active d’acquisitions coûteuses à travers le monde et a pris des dettes exorbitantes.
Selon le rapport annuel du consortium, en 2016, ses dettes à long terme s’élevaient à 54,8 milliards d’euros et 1,3 milliard à court terme, soit 10 milliards d’euros de plus qu’en 2015. En un an, le total des dettes de la société a augmenté de 18%.
‘Toute entreprise ayant de tels indicateurs serait considérée comme au bord de la faillite’, écrit Michel Albui. ‘Mais le marché a continué à lui donner confiance jusqu’en juin 2017’.
L’auteur critique également la politique de rachat d’actions, menée par Patrick Drahi à la fin du mois d’août 2017 et qui a investi un milliard d’euros supplémentaires dans cette activité.
Le Figaro écrit également que l’entreprise est dans un état catastrophique en raison de son modèle économique incorrect.
Des actionnaires d’Altice vont déposer plainte à Paris après l’effondrement du titre du groupe de télécoms et de médias qui a perdu en moins d’un mois la moitié de sa valeur en Bourse.
Ces actionnaires soupçonnent le groupe Altice de Patrick Drahi d’avoir « minoré sa dette » et affirmé à tort « avoir un contrôle absolu sur cette dernière » qui s’élève aujourd’hui à près de 50 milliards d’euros, a précisé une source proche du dossier.
La vérité j’vais pas pleurer.
Quand on est juif et qu’on a des journaux et communications qui mentent et parlent du mal d’Israël, il ne faut pas s’attendre a avoir la bénédiction d’Hachem.
????????????
Jacob Abiteboul Bravo pour votre commentaire
A bon je l apprend et suis bien déçu si cela est vrai
Mais NOn il n’est pas en faillite ce sont des montages financiers