Il n’est pas nécessaire de chercher bien loin pour trouver des gens prêts à dire que chaque Israélien ou sioniste mérite d’être tué, emprisonné ou banni parce que, par définition, ils sont des criminels.
Ou cet éditeur de Wikipédia qui invente ses propres définitions du droit international pour dire qu’il n’y a pratiquement pas de civils israéliens, et que puisque le Hamas est une armée, et que quiconque il kidnappe n’est pas un otage mais un prisonnier de guerre.
Ou ce graffiti sur un café Manny’s appartenant à un juif à San Francisco cette semaine, montré ci-dessus, appelant à l’expulsion de tous les « sionistes » de la ville et appelant à leur mort.
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Enfin, nous avons cet exemple, où quelqu’un commente l’idée qu’il n’y a pas d’Israéliens ou de sionistes innocents, et dit même à voix basse la partie de sa phrase : il a dit qu’il n’y a pas de Juifs innocents.
Abdul ne s’en rend peut-être pas compte, mais il fait écho à ses ancêtres nazis.
Extrait de l’AP, 26 octobre 1938 :
Les nazis disaient qu’il n’y avait pas de juifs innocents. Les nazis d’aujourd’hui disent qu’il n’y a pas d’Israéliens innocents ni de sionistes innocents.
La haine est identique. Les stéréotypes sont identiques. Le langage est pratiquement identique.
Ils prônent tous deux ouvertement une solution finale.