La reprise des combats à Gaza suscite de vives réactions internationales. Alors que l’ONU, la Turquie et plusieurs pays condamnent fermement les frappes israéliennes, la Maison-Blanche maintient son soutien à Israël et rejette la responsabilité sur le Hamas.


Un soutien américain sans équivoque

Après l’échec des négociations et la reprise des affrontements, les États-Unis ont réaffirmé leur position en faveur d’Israël. Brian Hughes, porte-parole du Conseil national de sécurité, a déclaré :
🗨️ « Le Hamas pouvait libérer les otages et prolonger le cessez-le-feu, mais il a choisi la guerre. »

Les frappes israéliennes sur Gaza, coordonnées avec Washington, ont reçu le soutien direct du président Donald Trump.


Des condamnations internationales

▶️ L’ONU « choquée »
Le secrétaire général Antonio Guterres a exprimé sa « stupeur » face aux bombardements et a appelé Israël à respecter le cessez-le-feu. L’organisation réclame une reprise immédiate de l’aide humanitaire et la libération sans conditions des otages.

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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▶️ La Turquie accuse Israël de « génocide »
Ankara, qui a multiplié les critiques contre Israël ces derniers mois, a dénoncé une « nouvelle phase » dans l’extermination du peuple palestinien.

▶️ Condamnations de la Russie et de la Chine
Moscou et Pékin ont exprimé leur inquiétude face à l’escalade des tensions, appelant à une reprise des pourparlers pour éviter une catastrophe humanitaire.

▶️ Réactions du monde arabe
L’Égypte et le Qatar, médiateurs dans le conflit, ont dénoncé une violation du cessez-le-feu et exhorté Israël à donner « une chance aux efforts de médiation ».
Les Houthis du Yémen, alliés de l’Iran, ont également réaffirmé leur soutien au Hamas et menacent d’intensifier leurs attaques contre Israël et ses alliés.


Une situation explosive

Tandis que les tensions continuent de monter, Israël et ses soutiens restent déterminés à poursuivre l’élimination des infrastructures du Hamas, tandis que la communauté internationale redoute une extension du conflit.