De plus en plus de preuves démontrent que la direction de ‘Women of the Wall »serait très proche des groupes de gauche radicaux pro-arabe (« y compris les groupes financés par le New Israel Fund ») selon la presse juive qui a publié un article de Rachel Avraham.
L’article de Rachel Avraham est assez explicite et démontre que les « femmes du mur », qui se sont construites une notoriété et un nom pour eux-mêmes en tant qu’organisation féministe faisant la promotion des droits des femmes en Israël, ne cachent pas non plus leur leadership avec des groupes anti-israéliens que peu de gens connaissent ».
« Peu importe, si l’on considère leurs actions comme des coups de publicité provocants qui perturbent la paix au Mur occidental, en se protégeant par de nobles actions visant à promouvoir les droits des femmes au sein de la religion juive, l’opinion publique israélienne n’est généralement pas consciente du fait que les femmes du mur possèdent des liens étroits avec des groupes anti-israéliens. »
Batya Kallus
«La vice présidente des femmes du Mur, Batya Kallus est également conseillère auprès de Sikkuy, cette ONG est signataire de la Déclaration de Haïfa, qui appelle à l’abolition de l’Etat d’Israël, fait l’éloge de la résistance violente, et accuse Israël de manipuler la mémoire de la Shoah à des fins politiques. En outre, Batya Kallus a facilité le financement de groupes anti-Israéliens comme Adalah, Ir Amin, Yesh Din, et Mossawa. »
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
L’article poursuit en soulignant que ces groupes contribuent à la délégitimation d’Israël dans le monde. Adalah et Mosawah sont opposés au droit d’Israël à exister en tant qu’Etat juif, et sont contributeurs au rapport Goldstone ; Ir Amin a « politisé les visites anti-israéliennes de la ville sainte au niveau international, en tenant des opinions contre Israël», Yesh Din considère Israël comme un Etat d’apartheid, et a apporté son soutien à la Turquie après l’incident de la flottille de Gaza.
La Présidente des femmes du mur, Anat Hoffman « se trouve être également présidente de la Société Domari des Tsiganes à Jérusalem »,qui fait partie de Grassroots d’Al Aqsa, un réseau anti-israëlien qui prend en charge la « résistance à l’occupation » opposée à la «judaïsation de Jérusalem», en plus de soutenir le droit au retour des palestiniens en Israël, révèle Rachel Avraham.
Avant Oslo 1993, Hoffman a été la présidente des « Femmes en Noir », un groupe qui préconisait de donner toute la Judée et la Samarie, ainsi que Jérusalem-Est, qui comprend la zone du Mur occidental ou Kotel à l’Autorité palestinienne. Fait intéressant, l’article de Rachel Avraham a fait sa première apparition sur Jérusalem Nouvelles Online. Peu de temps après son apparition, mardi dernier ou mercredi, il a disparu, puis est réapparu sur le site du Jewish Press ce dimanche.
Pour rappel, les femmes du Mur n’ont pas nié l’essentiel des accusations portées par Rachel Avraham.
Pour ceux d’entre vous qui sont intéressés, voici les pièces justificatives qui prouve les liens entre les femmes du Mur et des groupes radicaux »palestiniens» (y compris celles soutenues par le New Israel Fund). Le site Israel Matsav a eu la permission de le mettre en ligne .
Il est temps de mettre fin à ce cirque, il faut simplement les virer de la parquelque moyen que ce soit et si le coeur leur en dit elle peuvent toujours aller prier à la mosquée de la mukata sur le mosolé de arafat
[…] l’événement et a précisé que c’est un Hiloul Torah qui a été causé par cette association marginale qui lutte contre les fidèles qui viennent prier au mur, et mettent en avant […]
[…] controverse du mur du Kottel a été initié par les « Femmes du mur ». Nous avons été le premier site a annoncé leur opinions pro-palestiniennes et contre Israel suite à des recherches sur les dirigeantes de cette assemblée de femmes se disant […]
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