Les problèmes de navigation par satellite qu’Israël, Chypre et la Grèce connus ces dernières semaines peuvent constituer un «signal» avant un incident plus grave.
Les problèmes rencontrés par les pilotes de l’aéroport Ben Gourion au décollage et à l’atterrissage ont été connus le 16 juin, mais ils ont commencé beaucoup plus tôt.
Hier, il a été rapporté dans les médias que de hauts responsables du ministère de la Défense estimaient que les échecs avaient été causés par «l’attaque hostile» de la Russie et à des activités situé en Syrie.
La Russie a assuré que son armée n’était pas impliquée.
Le même jour, la Grèce, Chypre et la Turquie ont déclaré avoir des problèmes similaires.
Donc qui est derrière ce piratage GPS ?
Les actions de l’Iran ou du Hezbollah ?
Ces dernières années, l’Iran a connu un franc succès dans le domaine de la guerre électronique et personne ne sait en détail quelles «réalisations» sont au service des pirates informatiques de ce pays.
Actuellement, l’Iran déploie des efforts importants dans la « guerre de guérilla » contre les sanctions. Il est possible que cela fasse partie de cette lutte.
Les FDI ont déclaré que cette situation ne les avait pas affectés, car ils disposaient d’un système de communication distinct de celui des civils, mais les experts supposent que ce n’est que le début. Il est possible qu’à un moment donné, par exemple pendant les hostilités, Israël puisse être « désactivé avec un seul bouton ».
À la suite d’actions hostiles non identifiées, les trajectoires d’avions civils ont été modifiées arbitrairement sur les cartes. Par exemple, ils se seraient retrouvés au-dessus de Gaza, bien qu’en réalité ils aient suivi un trajectoire différente.
Le ministère de la Défense est extrêmement préoccupé par cet « incident », qui pourrait signifier des problèmes plus graves à l’avenir.