La Cour suprême israélienne a statué que les Juifs marocains n’avaient pas droit à une indemnisation pour les victimes de l’Holocauste.
Les Juifs marocains ont insisté sur le fait qu’ils avaient été exposés à l’antisémitisme pendant la guerre, mais la Cour suprême a statué que la privation ne répondait pas aux critères pour recevoir des prestations et d’autres aides. La pression sur la communauté juive était économique, par exemple, les Juifs ne pouvaient pas trouver de travail, cependant, il n’y avait pas de persécution physique. De plus, les Juifs ne pouvaient pas recevoir d’éducation en dehors de la communauté et choisir librement leur lieu de résidence.
Le gouvernement collaborationniste de Vichy a fait pression sur les autorités marocaines pour qu’elles durcissent les lois antisémites.
Les demandeurs croient qu’il s’agissait d’une persécution grave, mais le tribunal l’a jugé différemment. Auparavant, une décision similaire avait été rendue par le tribunal de district de Haïfa.