Les ministres arabes des Affaires étrangères insistent sur le fait que Jérusalem doit être la capitale d’un futur État palestinien, alors même que les États-Unis se préparent à y déplacer leur ambassade dans une décision qui avait plus irrité le monde arabe que les actions terroristes diverses menés par les palestiniens contre Israël.
Une réunion ministérielle tenue mercredi au Caire, dans la capitale égyptienne, a réuni plusieurs ministres des Affaires étrangères des États membres de la Ligue arabe.
Cette réunion a été organisée en pleine vague de colère contre la décision du président américain Donald Trump en décembre, qui avait déclenché des manifestations en Judée Samarie et dans la bande de Gaza .
Pour rappel, Trump a décidé de reconnaître Jérusalem comme la capitale d’Israël qui sera déplacé le jour de l’indépendance de l’Etat d’Israel, ce 14 mai.