Une semaine après le crash de l’avion « Germanwing», les membres de Zaka se sont rendus sur les lieux pour poursuivre les efforts pour l’identification des corps et surtout identifier les restes du corps de l’Israélien Eyal Baum ZL qui se trouvait dans l’avion au moment du drame.

Une semaine s’est écoulée depuis ce tragique événement dans les Alpes françaises, qui a tué 150 passagers et l’équipage, toutes les victimes n’ont pas encore été retrouvées, mais la moitié d’entre elles ont déjà été identifiées. La délégation de ZAKA à la recherche d’Eyal Baum dit que la tache est difficile :

 « Nous sommes ici pour documenter ce qui se passe sur le site, et nous sommes en attente d’approbation pour entrer dans les profondeurs de la scène. » Il a ajouté que le temps est glacial et que l’équipe espère dans les prochaines heures donner une première évaluation de ce qui se passe sur les lieux de la catastrophe. »

Le chef de l’équipe médico-légale envoyé par la France, a déclaré: « L’identification prendra beaucoup de temps, car il y a une énorme quantité de tests nécessaires à effectuer. Il faut du temps pour apporter les sacs avec les données des victimes et leurs familles doivent donner des échantillons de sorte que nous pouvons comparer l’ADN ».

La famille du jeune Israélien a aussi effectué les tests suite à la demande du ministère des Affaires étrangères peu après l’accident afin de repéré le corps de Eyal ZL au milieu des ses chaires humaines sans identité.

Concernant la cause de ce drame, c’est un suicide du copilote Andreas Lubitz (27 ans) sur l’A320 qui a entraîné la mort de 149 passagers et membres d’équipage, l’homme a été traité dans le passé en raison de ses tendances suicidaires selon le procureur de Düsseldorf, en Allemagne.

Le procureur a noté que « le copilote avait suivi une psychothérapie à cause de ses tendances suicidaires, il y a quelques années avant d’avoir reçu sa licence de pilote. » Cependant, le procureur a souligné que Lubitz n’a pas montré de signes de comportement suicidaire après avoir reçu sa licence de pilote. « Il n’a pas montré aucun signes suicidaire ou d’une personne agressive ».

A l’heure actuelle, on ne sait toujours pas comment une compagnie peut donner un tel accès à ses avions à des personnes qui dans le passé ont été traités pour des problèmes psychiatriques, sachant que les contrôles de santé ne se font qu’une seule fois par an ?