L’organisation terroriste a commencé à construire des tunnels dans les années 1980 avec l’aide de la Corée du Nord et du Liban.
Le réseau est plus complexe que celui de nos « amis » du Sud, étendu et peut s’étendre aussi bien au Liban qu’en Syrie.
La région de Beyrouth est reliée à la frontière sud ; des tunnels, qui abritent également le quartier général du Hezbollah, s’étendent également vers l’est jusqu’à la vallée de la Bekaa.
Après la Seconde Guerre du Liban, la construction s’est intensifiée, avec l’installation de postes de commandement et de lanceurs de missiles.
La Corée du Nord a participé activement à la construction, ayant une expérience dans de telles installations militaires depuis les années 50.
L’existence du réseau de tunnels n’est pas un secret : en 2018, Tsahal a mené une opération frontalière spéciale appelée Bouclier du Nord pour localiser et éliminer les tunnels du Hezbollah. Selon des informations diffusées par les médias libanais, le Hezbollah entendait s’emparer des villages frontaliers israéliens en faisant passer jusqu’à 5 000 terroristes par les tunnels.