Déjà ! Ils ont le culot d’appeler le système politique de démocratie. Moi, je ne vois nulle part de démocratie. Ce que je vois par contre, c’est un système représentatif. Surtout, prenez bien le temps de vous attarder sur cet adjectif : représentatif ! D’ailleurs, et en fieffés hypocrites qu’ils sont, ils ont cette merveilleuse expression : « la démocratie représentative ». Leur but évidemment est de bien nous tromper de façon à ce que l’on demeure tranquille et qu’on les laisse faire leur petite tambouille … qui ne consiste, organisés en clans comme ils sont, qu’à se taper dessus, qu’à s’éliminer pour conquérir le pouvoir, en un mot qu’à s’entretuer. Leur système en fait pue la mort à plein nez. La « démocratie », c’est la reconnaissance péremptoire de s’assassiner, et merveille des merveilles, reconnaissance péremptoire encadrée par le droit, le droit de tuer donc en toute impunité, même s’il n’y a pas crime à proprement parler. Mais cela arrive quelquefois quand même : qu’on se souvienne des « affaires » sous les présidences Giscard d’estaing et Mitterrand en France ! Il n’en reste pas moins que la « démocratie » suscite une atmosphère de mort. Or, pour tout esprit équilibré, la « démocratie » au contraire devrait être source d’apaisement, de recherche fiévreuse de consensus entre tous les citoyens. Elle est au contraire dispensatrice de haine, de suspicion, d’inquiétude de l’autre, de son rejet même parce que créatrice de clans, de factions.
Cela était un point à évacuer. Laissez-moi affirmer maintenant une réalité qui va sans doute en faire bondir plus d’un. Au lendemain de la seconde guerre mondiale, tous les pays qui ont été « libérés » du nazisme à l’Est de l’Europe par l’Armée rouge, tombent progressivement sous la coupe des communistes. C’est l’époque du « Rideau de fer » comme l’énonça Churchill. Ces pays ne retrouveront leur liberté et donc leur indépendance qu’après la chute du Mur de Berlin le 9 novembre 1989. Ils ont donc souffert en moyenne -car tous ne l’ont pas été en même temps- de 44 ans d’asservissement. Or, il faut avoir à l’esprit qu’en 1945, les valeurs qui régissaient les peuples étaient, malgré quelques petites différences, à peu près les mêmes de Brest en Bretagne à Brest-Litovsk en Bielorussie.. Or, à mon avis, les pays d’Europe de l’Est, sous la chape de plomb communiste, et malgré bien sûr une légère évolution, ont gardé intactes les valeurs en vigueur en 1945 … alors que l’Europe de l’Ouest évoluait elle, vitesse grand V dans son tourbillon de dégénérescence. C’est à mon avis ce qui explique la césure observable du continent.
Aujourd’hui en Europe de l’Ouest, la mort est devenue une terrible maladie. Tous les esprits ou presque sont devenus victimes de ce qu’il faut bien appeler une contamination de la mort. Ceux des dirigeants politiques d’abord ce qui n’a rien d’étonnant puisqu’ils sont enfants du système pourri dans son essence par la mort que je viens à l’instant d’évoquer ; dirigeants politiques qui, depuis plus de 60 ans -que ce soit en France, en Allemagne, en Angleterre, au Bénélux et dans les pays scandinaves- ont laissé entrer sur leurs sols, par millions, des gens qui s’abreuvent du sang de leurs propres concitoyens et ne rêvent que de les remplacer. Écoutez un instant cet individu contaminé Mélenchon qui ne vit que de son obsession qu’il appelle « créolisation » comme si elle lui était un orgasme : « Il y a une nouvelle France et cette nouvelle France, c’est la nôtre. Cessez d’imaginer une France du passé qui n’est plus là. Acceptez celle qui est là et dîtes-vous bien comme je le dis à chacun des jeunes gens qui je sais sont nés comme moi au Maghreb ou bien encore ailleurs :cette partie du pays est à nous. C’est là que naîtront vos enfants, c’est là que naîtront vos petits-enfants. Voilà pourquoi je parle de la nouvelle France. La ruralité qu’on vous jette à la figure n’existe pas. La nouvelle ruralité n’est pas non plus composée de ce rêve fou de Français de souche. La ruralité eh bien, c’est celle qui arrive des quartiers populaires en ce moment. Cessez donc d’imaginer une France du passé qui n’est plus là. Acceptez, celle qui est là et dîtes-vous bien … cette partie du pays est à nous ! ». N’est-ce pas là une pathologie de la mort mais de surcroît un appel au crime lancé à tous les jeunes issus de l’immigration ?
Dans un pays respectueux de ses valeurs et de son identité, ce type aurait dû être enfermé sur le champ. Seulement voilà, comme la contamination est générale, cela n’a pas eu lieu. Tous les jours, la justice avec sa faux protège les délinquants islamistes et se moque comme d’une guigne, des victimes. Et pour revenir aux dirigeants politiques, leur instinct de mort les conduit à laisser faire les pires exactions : souvenez-vous de ces centaines de jeunes Anglaises victimes de prostitution par des gangs pakistanais. La puissance de la mort fut pour ces responsables un réel ensorcellement qui les a plongés dans une paralysie révoltante. Refusant de voir puis de sévir comme tout esprit normal était en voie de s’attendre, ils se sont mis un bandeau sur les yeux.  Et puis, il y a les partisans du wokisme qui condamnent l’action de nos pères pour ce qu’ils ont fait en cherchant à effacer leurs traces et donc à s’auto-détruire puisqu’ils sont finalement leurs enfants. Et puis, il y a la glorification de l’avortement (250 000 assassinats en 2024 en France !) qui a conduit dans une apothéose du mal, à sa constitutionnalisation, et à la chute de la natalité comme il fallait s’ attendre. Et puis, il y a ce mouvement de déconstruction des hommes pour en faire quoi ? Des êtres hybrides comme le sont devenues les femmes qui ne sont plus désormais que des mâles sans pénis ? Et puis, il y a  la glorification du transgenrisme qui n’est en fait qu’une remise en cause imbécile de l’ordre naturel. Et puis, il y a le retour en force de l’antisémitisme, la glorification des terroristes du Hamas qui ne sont en fait que les enfants chéris de la mort car ce qui les guide … c’est le coran qui n’est qu’une apologie livresque de la mort. Et puis bien sûr, et plus particulièrement en Europe de l’Ouest et aux Etats-Unis, il y a la haine inouïe contre Israël qui lui, en bonne logique après la barbarie du 7 octobre 2023, cherche à se préserver car pour lui, SA SEULE OBSESSION, C’EST LA VIE CONFORMEMENT A SA RELIGION. Oui ! tout pue la mort en Europe de l’ouest et demain, après avoir joui de s’être auto-mutilée, elle ne sera plus qu’une part obscure du dar-al-islam …
 
Vous aurez remarqué que dans mon titre je n’ai pas écrit : « peuple de la vie contre peuple de la mort ». Car figurez-vous que l’Europe de l’Ouest prise dans sa volonté de mourir cherche à tout prix et de manière autoritaire en usant des instances de Bruxelles, à entraîner dans son tourbillon de mort, la partie Est de l’Europe encore à peu près préservée de la dégénérescence. Cette Europe là fait son possible pour conserver son identité en défendant la famille, la justice, ses frontières contre les invasions barbares, ses bonnes moeurs. La Hongrie en tête, suivie de la Slovaquie et même de la Pologne sont l’avant-garde du maintien de notre civilisation, j’ai envie de dire, du maintien de la normalité et on ne peut qu’applaudir ces nations restées saines. Dieu merci, il y a dans les peuples dégénérés d’Europe de l’Ouest, des courants de pensée qui les rejoignent.
 
Une nouvelle bataille des Champs catalauniques en 451 et une nouvelle bataille de Poitiers en 732 sont incontournables si l’on veut définitivement en finir avec le tourbillon de la mort ! Il est vrai qu’à ces époques, le mal était extérieur et s’il l’est également aujourd’hui, c’est parce qu’il est d’abord intérieur du fait bien sûr des dirigeants politiques qui n’auront été que les vecteurs de la contamination ! Bref, j’ai vraiment du mal à percevoir la possibilité de telles grandes victoires… pour l’Europe de l’Ouest. Je prie Dieu que l’Europe de l’Est tienne bon ce qui n’est pas du tout assuré !!! Et Israël dans tout cela ? Eh bien, il est à la fois Europe de l’Ouest et Europe de l’Est et sous l’effet des élections, il bascule de l’un vers l’autre ce qui nuit en fait à son équilibre et partant bien sûr, à sa préservation car lui aussi, plus que tous les autres est exposé à sa disparition. Il ne reste plus aux chrétiens qu’à s’adresser à Dieu et aux Juifs qu’à s’adresser à Hashem.
Je suis goy. Vive Israël !
Philippe Arnon