Les pays n’ont pas encore été nommés, mais on dit que les propositions sont venues d’États amis d’Israël qui veulent donner un coup de pouce à leur propre industrie de haute technologie, donc ils offrent des conditions fiscales très attractives, tout en profitant du désordre de le réforme judiciaire en Israel.
Uri Adomi, PDG de Mazor Robotics, a déclaré à la Douzième chaîne que les pays européens ont contacté plusieurs « capitaines d’affaires » et sont prêts à profiter de la crise israélienne. Adomi estime que tout cela s’annonce « apocalyptique », Israël risque de perdre le meilleur personnel.
Selon lui, la situation actuelle dans le pays est difficile : « Il y a une partie de la population qui ne voudrait pas être dans un endroit non démocratique, raciste et misogyne ».
Les réformes en termes économiques signifient une dégradation de la cote de crédit d’Israël, un arrêt des investissements et un affaiblissement du shekel, le départ de la haute technologie privera le pays d’une part importante des impôts sur lesquels, dont en fait, les bénéficiaires de ces changements actuels sont l’état.
Entre temps, des PDG d’entreprises israéliennes qui ont envoyé leur argent à l’etranger ont commencé à payer cher, leurs erreurs surtout apres le crash de nombreuses banques américaines comme la SVB Financial Group, acteur majeur du financement des start-up et entreprises technologiques.