L’horreur filmée : Avitar David contraint de creuser sa propre tombe par ses ravisseurs du Hamas – la vidéo choc dévoilée avec l’accord de la famille

Dans un geste déchirant mais nécessaire, la famille du jeune otage israélien Abitar David, détenu depuis des mois dans les tunnels du Hamas à Gaza, a autorisé la diffusion d’une vidéo insoutenable. Diffusée par l’organisation terroriste, on y voit Avitar, squelettique, hagard, contraint de creuser ce qui semble être sa propre tombe, dans une scène d’un sadisme abject. Son corps est marqué par la faim, son visage par l’abandon, et son regard par la terreur. Un appel au secours silencieux… mais déchirant.

La famille David, dans une déclaration poignante, a confirmé l’authenticité des images : « Il ne lui reste que quelques jours à vivre dans son état actuel. Avitar est affamé délibérément, utilisé comme un pion de propagande par les monstres du Hamas. C’est un squelette vivant, enseveli vivant sous Gaza. » Un témoignage qui fait frémir, renforcé par la réalité sinistre du sort réservé à d’autres otages.

La sœur d’Avitar, Yaëla, a pris la parole en larmes lors d’une manifestation sur la place des otages à Tel-Aviv : « Mon cœur s’est vidé en voyant les images. Mon grand frère, méconnaissable, réduit à l’état de loque humaine. Ce ne sont pas des images de fiction : c’est notre quotidien. Halas ! ‘Plus jamais ça’ c’est maintenant, pas dans les livres d’histoire ! »

Ce cri de désespoir résonne d’autant plus fort qu’il est partagé par d’autres familles. Vicky, la mère du captif Nimrod Cohen, a qualifié les images de « Shoah 2025 ». Anath Angrest, mère du prisonnier Matan, a renchéri : « Nos enfants sont devenus des squelettes. Nos hommes sont abandonnés à la mort. C’est l’effondrement moral du judaïsme. »

Et pendant que les otages meurent à petit feu dans les tunnels, privés de toute humanité, les terroristes de Gaza se gavent. Tel Shehem, ancien otage libéré dans un échange, a témoigné : « Dans la même galerie souterraine où j’étais enfermé avec Avitar, les geôliers du Hamas festoyaient avec des aliments volés à l’aide humanitaire internationale, censée être destinée à la population civile de Gaza. »

החטוף אביתר דוד

Il faut le rappeler avec force : l’aide humanitaire continue d’affluer vers Gaza. Grâce à l’armée israélienne. Grâce au gouvernement israélien. Et avec la bénédiction d’une partie du monde occidental qui ferme les yeux sur les détournements. Le Hamas, pendant ce temps, affame ses otages, utilise leurs souffrances comme levier de pression et se pavane dans les tunnels, bien nourri, bien soigné. Est-ce cela que soutiennent certains pays européens en appelant à une reconnaissance précipitée d’un « État palestinien » ?

L’ancien captif Omer Vankert, également détenu avec Avitar, a publié un message bouleversant sur Instagram après avoir vu les nouvelles images : « J’ai perdu 37 kilos en captivité. Ce que vous avez vu n’est qu’un écho de l’horreur. Tous les otages auraient dû être libérés hier. Chaque minute compte. »

Idit Ahel, mère d’Alon Ahel, un autre otage gravement blessé ayant perdu un œil, a supplié : « C’est un SOS. Reprenez les négociations immédiatement. Mon fils est entre la vie et la mort. Je hurle en tant que mère : mettez fin à ce cauchemar. Rendez-nous nos enfants. »

Dans un moment de lucidité rare en politique, le chef de l’opposition Yair Lapid a déclaré : « Lundi prochain, à l’ordre du jour du gouvernement : un débat sur les menaces contre la vie du Premier ministre. Je condamne toute menace, bien entendu, mais il reste l’homme le plus protégé d’Israël. Et si on parlait plutôt des vraies menaces : celles qui pèsent sur la vie d’Avitar David et des autres otages ? »

Enfin, lors d’une réunion de deux heures avec des familles d’otages, Steve Witkoff, l’envoyé spécial de l’administration Trump pour la région, a reconnu l’impasse : « Le Hamas a durci ses positions. Mais nous sommes à vos côtés. » Des paroles qui se veulent rassurantes mais peinent à convaincre : « Il parle comme Netanyahou, il n’y a aucun changement concret concernant un accord. »

Alors que les familles crient leur douleur, que les images d’un jeune homme réduit à l’état de spectre font le tour du monde, une question s’impose à tous : jusqu’où ira l’indifférence ? Combien d’Avitar, d’Alon, de Matan, de Nimrod faudra-t-il encore sacrifier avant qu’un vrai sursaut ait lieu ?

Israël, seul contre tous, continue d’agir. Mais il est plus que temps que le monde cesse d’armer le Hamas avec son silence complice.

Sources :

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