Alors qu’Israël autorise chaque jour le passage de centaines de camions d’aide humanitaire à destination de la bande de Gaza, l’Organisation des Nations Unies – censée en assurer la distribution – bloque ou retarde l’acheminement de ces cargaisons vitales. Ce paradoxe choquant, révélé par plusieurs rapports israéliens et internationaux, expose une réalité dérangeante : l’ONU, tout en dénonçant Israël, entrave elle-même l’accès à l’aide qu’elle prétend exiger.
La duplicité du système onusien, et sa lenteur bureaucratique, provoquent une crise humanitaire qu’il serait pourtant facile d’atténuer. Et pendant ce temps, les camions restent bloqués au point de passage de Kerem Shalom, pleins de vivres, d’eau, de médicaments… et d’hypocrisie internationale.
Israël ouvre les passages, l’ONU les ferme
Chaque jour, entre 200 et 300 camions chargés d’aide sont autorisés à entrer dans Gaza via Israël, à travers les points de Kerem Shalom et d’Erez. Ces camions sont soigneusement inspectés par les forces de sécurité israéliennes pour s’assurer qu’ils ne contiennent ni armes ni matériel sensible.
Une fois ces inspections terminées, le relais logistique est censé être pris par les agences onusiennes – notamment l’UNRWA, l’OMS ou le Programme alimentaire mondial. Mais depuis plusieurs semaines, des centaines de camions restent stationnés sans être pris en charge, faute d’organisation, de coordination, ou de volonté claire.
Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile :
Des sources israéliennes dénoncent un phénomène grandissant : l’ONU multiplie les demandes de passage, mais refuse ensuite d’acheminer l’aide, invoquant « des conditions de sécurité insuffisantes », ou simplement « une logistique indisponible ». Le résultat ? Les biens pourrissent sous le soleil, pendant que l’ONU accuse Israël de provoquer une famine.
Les faits, les chiffres, et le scandale
Selon un rapport du ministère israélien de la Défense publié cette semaine :
Plus de 1 000 camions ont été autorisés à entrer dans Gaza ces dix derniers jours.
Plus de 500 n’ont pas été pris en charge par l’ONU.
Des tonnes de farine, de riz, de médicaments, et de kits d’hygiène restent bloquées dans des zones de transit, faute de transporteurs désignés par les agences onusiennes.
Et pourtant, les mêmes agences publient quotidiennement des communiqués accusant Israël de provoquer une « catastrophe humanitaire », alors que les faits montrent une volonté israélienne manifeste de faciliter l’acheminement de l’aide.
Le ministre israélien Yoav Gallant a été clair :
« Nous ne laisserons pas les enfants de Gaza mourir de faim. C’est l’ONU qui doit faire son travail. »
Une logistique politisée
Pourquoi l’ONU agit-elle ainsi ? Plusieurs raisons sont avancées, et aucune n’est rassurante :
Crainte d’attaques du Hamas contre ses propres convois : un aveu de perte de contrôle.
Lenteur administrative et coordination interne défaillante : bureaucratie kafkaïenne.
Volonté de maintenir la pression politique sur Israël, en laissant empirer la crise sur le terrain.
Selon une source diplomatique occidentale citée par Channel 12 :
« Il y a des instructions non écrites de certains responsables onusiens : ne pas améliorer la situation trop vite, tant que la guerre continue. »
En clair, certains veulent que la souffrance de la population civile serve de levier politique contre Israël – au lieu de la soulager.
L’UNRWA, au centre des critiques
L’agence onusienne pour les réfugiés palestiniens, l’UNRWA, déjà entachée par les révélations de sa collaboration avec le Hamas (employés impliqués dans les massacres du 7 octobre, tunnels sous ses écoles), est au cœur de ce blocage logistique.
Israël, après avoir apporté les preuves de la compromission de l’UNRWA avec le terrorisme, exige qu’une structure alternative soit mise en place pour la gestion humanitaire. Mais de nombreux pays, notamment en Europe, continuent de soutenir aveuglément l’agence, malgré les rapports accablants.
Une solution existe, mais l’ONU la refuse
Israël a proposé à plusieurs reprises d’acheminer l’aide via des ONG indépendantes ou avec l’appui d’États arabes modérés, comme les Émirats ou la Jordanie. Ces pays ont accepté, à condition que l’ONU ne bloque pas le processus.
Mais c’est justement là que le bât blesse : l’ONU refuse toute initiative qui échappe à son contrôle, même si cela signifie ralentir la distribution d’eau potable ou de médicaments aux civils. L’obsession du monopole administratif a pris le pas sur l’urgence humanitaire.
Une hypocrisie qui tue
Pendant que l’ONU débat, des enfants attendent des couches, des patients chroniques attendent leurs traitements, et des familles manquent d’eau. Et pendant ce temps, l’opinion publique mondiale, mal informée, continue de croire que la crise est provoquée par Israël, alors que l’État hébreu fait tout pour ouvrir les flux humanitaires.
C’est un scandale moral, un désastre diplomatique, et une manipulation honteuse de la réalité humanitaire.
Israël persévère malgré les obstacles
Malgré les critiques, Israël continue d’ouvrir ses points de passage, de coordonner avec l’Égypte, d’améliorer la logistique, et même de créer des couloirs humanitaires temporaires, protégés militairement, pour faciliter l’acheminement.
Le Premier ministre Netanyahou a déclaré :
« Notre combat est contre le Hamas, pas contre les civils. L’ONU, elle, doit choisir son camp. »
La vérité finira par éclater
Les documents, les vidéos, les données satellites sont là. Israël les transmet chaque semaine à ses partenaires occidentaux. Certains commencent à ouvrir les yeux. Plusieurs parlementaires américains et européens demandent un audit complet des actions de l’ONU à Gaza. Et des journalistes indépendants commencent à documenter les files de camions abandonnés, en attente de coordination onusienne.
La vérité avance lentement. Mais elle avance.
Conclusion : ne pas détourner le regard
Ce qui se passe aujourd’hui à Gaza, ce n’est pas seulement une guerre contre le terrorisme, c’est aussi un test moral pour la communauté internationale. Israël, malgré le sang versé, continue de tendre la main humanitaire. L’ONU, censée représenter l’éthique universelle, trahit sa mission en utilisant la souffrance des civils comme levier politique.
L’histoire jugera. Et elle jugera sévèrement ceux qui auront fermé les yeux sur leur propre responsabilité dans la crise humanitaire qu’ils prétendaient dénoncer.
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