Raafet Khamouma est un de nos rĂ©dacteurs sur le site de Alyaexpress- News, voici une prĂ©sentation trĂšs rapide de ce Tunisien dâorigine Turque qui est un grand Ami dâIsraĂ«l et du peuple juif.
Khamouma Ćuvre pour la paix dâIsraĂ«l. Il a toujours vĂ©cu avec des juifs quâil considĂšre comme ses frĂšres et sĆurs. Il est reconnaissant vis Ă vis du docteur Daniel Kalfon qui fut le mĂ©decin de famille depuis plus de 35 ans et qui est le seul a avoir dit la vĂ©ritĂ© sur la mort criminelle de sa mĂšre dans une clinique tunisienne sous le rĂ©gime de Bourguiba. Il est aussi un grand admirateur du gĂ©nĂ©ral Ariel Sharon et ne tolĂšre pas les arabes qui font du mal aux juifs en Israel et en dehors. Son souhait :  » Puisse le seigneur nous venir en aide en dĂ©truisant cet ennemi que le monde suppose civilisĂ© dont lâONU ne condamne pas malgrĂ© quâil soit classĂ© parmi les groupes terroristes les plus dangereux. »
Raafet Khamouma dĂ©voile le mensonge sur LâindĂ©pendance de la Tunisie
La Tunisie officiellement sâest dĂ©clarĂ©e indĂ©pendante de la colonialisation française en 1956 Ă la date du 20 Mars plus exactement suite Ă un accord de protocole passĂ© entre la dĂ©lĂ©gation française et son homologue tunisienne datĂ©e du 5 Juin 1955.
Or il appert de lâaffaire intentĂ©e Ă lâencontre du gouvernement tunisien par moi mĂȘme, Mr. Raafet Khamouma, par devant le tribunal Administratif de Tunis sous le numĂ©ro : 711807 dont le jugement a Ă©tĂ© rendu Ă la date du 30/12/2012 ce qui suit :
Le gouvernement tunisien reprĂ©sentĂ© par son chef du gouvernement en lâoccurrence le premier ministre provisoire fut obligĂ© de faire intervenir la prĂ©sidence de la RĂ©publique.
La question qui se pose est la suivante : pour quoi tout ce cirque ?????,
La prĂ©sidence de la rĂ©publique annonça la couleur en faisant valoir son plus grand atout en prĂ©tendant que la dĂ©claration dâindĂ©pendance de la Tunisie se trouvait sur le net et me faisant parvenir via courrier du tribunal Administratif.
Je ne vous dis pas lâampleur de ma surprise en jetant un coup dâĆil sur ces soi-disant documents :
- Il sâagit dâun protocole dâaccord entre les dĂ©lĂ©gations tunisiennes et françaises, datĂ© du 05/06/1955 par lequel la France reconnait la souverainetĂ© totale de la Tunisie sur tout le territoire tunisien.   Or lâon sait trĂšs bien que Bizete cĂ©lĂšbre chaque annĂ©e et plus exactement le 15 octobre, la fĂȘte de lâĂ©vacuation qui a eu lieu en 1963 soit 7 ans et 5 mois et 25 jours aprĂšs lâindĂ©pendance du 20 Mars 1956.
- Ceci est complĂštement contradictoire, car lâon ne peut avoir la souverainetĂ© sur tout le territoire exceptĂ© un bastion Ă moins que cela ne soit citĂ© dans le protocole dâaccord.
- Au sein de cette affaire intentĂ©e par devant le tribunal Administratif, jâai sollicitĂ© lâobtention dâune copie conforme de la dĂ©claration dâindĂ©pendance de la Tunisie qui est le droit de chaque citoyen, vu que les autres pays indĂ©pendants en possĂšdent
- Sachant bien sur quâaprĂšs plusieurs recherches sur le net, il sâest avĂ©rĂ© quâil nây avait aucun document officiel relatif Ă lâindĂ©pendance de la Tunisie.         Les documents prĂ©sentĂ©s par les plus hautes instances du pouvoir tunisien dĂ©montre quâils mâont pris pour un idiot de premiĂšre classe, car le document (le protocole dâaccord fut Ă©crit sur une feuille ordinaire sans entĂȘte comme si la rĂ©publique française nâavait pas une seule feuille officielle et en plus les signataires de cet accord nâavaient leurs qualitĂ©s citĂ©s en tant que telle.
- Pire encore :
Le gouvernement provisoire tunisien dans son argumentation cite bien que  lâindĂ©pendance de la Tunisie fut le fruit de deux documents Ă savoir la dĂ©claration dâindĂ©pendance interne signĂ©e le 3/6/1955 et le protocole dâindĂ©pendance signĂ© le 20/3/1956 et que ces deux documents nâont jamais paru au journal officiel de la rĂ©publique tunisienne pour la raison suivante pure et simple : câest quâils ne sont pas disponibles au sein de la prĂ©sidence et au sein du gouvernement.
Vu que la dĂ©claration dâindĂ©pendance est un document le plus important de toute lâhistoire de la Tunisie depuis 1881, date de lâinstauration du protectorat français dont il y a un Ă©crit officiel qui se trouve disponible alors normalement la dĂ©claration dâindĂ©pendance doit ĂȘtre prĂ©servĂ©e, gardĂ©e et surveillĂ©e et lâon devrait la trouver au sein des archives nationales juridiquement parlant Ă©videment, or il nâen est rien de tout cela.
La question mesdames et messieurs.
Le pour quweche  ( pour quoi). En somme la Tunisie est un pays qui nâa pas :
- De dĂ©claration dâindĂ©pendance.
- De législation.
- Elle a le titre de figurant au sein des nations unies.
Dans le document suivant, allez au paragraphe dĂ©colonisation car la Tunisie ne possĂ©dant pas de dĂ©claration dâindĂ©pendance, est soumise et obĂ©it Ă cet article.
Aujourdâhui lâensemble des pays dĂ©lĂ©gitiment lâexistence de lâĂtat DâIsraĂ«l, qui est pourtant un pays avec une indĂ©pendance et une chartes rĂ©elleâŠ.datant de 1948.
Raafet Khamouma pour Alyaexpress-News
PS : LâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale : sa composition, ses fonctions
LâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale est le principal organe de dĂ©libĂ©ration de lâOrganisation des Nations Unies. Chaque nation Membre y dispose dâune voix et toutes les voix ont une valeur Ă©gale. Ă lâheure actuelle, lâOrganisation compte 193 Ătats Membres.
LâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale est le principal organe de dĂ©libĂ©ration de lâOrganisation des Nations Unies et elle est habilitĂ©e Ă examiner toute question rentrant dans le cadre de la Charte des Nations Unies, notamment celles qui se rapportent aux pouvoirs et fonctions des autres organes des Nations Unies qui lui remettent des rapports. Toutes les nations Membres sont reprĂ©sentĂ©es Ă lâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Chaque dĂ©lĂ©gation comprend cinq reprĂ©sentants et cinq supplĂ©ants au plus, ainsi quâun nombre de conseillers et dâexperts qui varie selon les besoins.
Chaque Ătat Membre dispose dâune voix. Toutes les voix ont une valeur Ă©gale. Les dĂ©cisions sur les questions importantes, notamment les recommandations relatives au maintien de la paix et de la sĂ©curitĂ© internationales, lâĂ©lection des membres des conseils des Nations Unies, lâadmission de nouveaux Membres dans lâOrganisation, les questions relatives au fonctionnement du rĂ©gime de tutelle et les questions budgĂ©taires, sont prises Ă la majoritĂ© des deux tiers des Membres prĂ©sents et votants. Lâabstention nâest pas considĂ©rĂ©e comme un vote. Les dĂ©cisions sur dâautres questions, y compris la dĂ©termination de nouvelles questions Ă trancher Ă la majoritĂ© des deux tiers, sont prises Ă la majoritĂ© simple.
LâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale tient une session annuelle rĂ©guliĂšre. Ă la demande du Conseil de sĂ©curitĂ© ou dâune majoritĂ© des Ătats Membres, elle peut Ă©galement tenir des sessions extraordinaires et des sessions extraordinaires dâurgence.
Fonctions et pouvoirs
LâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale suscite des Ă©tudes et fait des recommandations en vue de dĂ©velopper la coopĂ©ration internationale dans le domaine politique; dâencourager le dĂ©veloppement progressif du droit international et sa codification; de promouvoir la coopĂ©ration internationale dans les domaines Ă©conomique, social, culturel, Ă©ducatif et de la santĂ© publique; de faciliter pour tous, sans distinction de race, de sexe, de langue ou de religion, la jouissance des droits de lâhomme et des libertĂ©s fondamentales.
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LâAssemblĂ©e a qualitĂ© pour dĂ©battre toute question internationale dont elle a Ă©tĂ© saisie par les Ă©tats Membres ou par dâautres organes des Nations Unies. Si le Conseil de sĂ©curitĂ© lui en fait la demande, lâAssemblĂ©e peut alors Ă©mettre des recommandations, y compris au sujet de questions touchant la paix et la sĂ©curitĂ© internationales. Elle peut Ă©galement en faire au sujet des principes gĂ©nĂ©raux de coopĂ©ration pour le maintien de la paix et de la sĂ©curitĂ©, y compris ceux qui rĂ©gissent le dĂ©sarmement et la rĂ©glementation des armements. LâAssemblĂ©e ne peut adopter que des recommandations et non des dĂ©cisions contraignantes; mais ses recommandations tirent leur force de ce quâelles reprĂ©sentent le jugement de la majoritĂ© des nations Membres.
Comment un nouvel Ă©tat ou gouvernement se fait-il reconnaĂźtre par lâOrganisation des Nations Unies ? Comment devient-on Ă©tat Membre de lâONU ?
La reconnaissance dâun nouvel Ătat ou gouvernement est un acte que seul des Ătats ou des gouvernements peuvent accomplir. Elle prĂ©suppose gĂ©nĂ©ralement la volontĂ© dâĂ©tablir des relations diplomatiques. LâONU nâest ni un Ătat ni un gouvernement, aussi nâest-elle pas habilitĂ©e Ă reconnaĂźtre un Ătat ou un gouvernement. En tant quâorganisation dâĂtats indĂ©pendants, elle peut admettre un nouvel Ătat comme Membre ou accepter les pouvoirs des reprĂ©sentants dâun nouveau gouvernement.
En vertu du premier paragraphe de lâArticle 4 de la Charte des Nations Unies, « peuvent devenir Membres des Nations Unies tous (âŠ) Ătats pacifiques qui acceptent les obligations de la (âŠ) Charte et, au jugement de lâOrganisation, sont capables de les remplir et disposĂ©s Ă le faire ». Les Ătats sont admis comme Membres des Nations Unies par dĂ©cision de lâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale sur recommandation du Conseil de sĂ©curitĂ©. On peut rĂ©sumer ainsi la procĂ©dure Ă suivre :
- LâĂtat soumet sa demande au SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral, accompagnĂ©e dâune dĂ©claration officielle dans laquelle il affirme accepter les obligations imposĂ©es par la Charte.
- La demande est dâabord examinĂ©e par le Conseil de sĂ©curitĂ©. Toute recommandation dâadmission doit bĂ©nĂ©ficier du vote favorable de neuf des 15 membres du Conseil dont les cinq membres permanents, Ă savoir la Chine, les Ătats-Unis dâAmĂ©rique, la FĂ©dĂ©ration de Russie, la France et le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et dâIrlande du Nord.
- Si le Conseil recommande lâadmission, sa recommandation est soumise Ă lâexamen de lâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale. Un vote Ă la majoritĂ© des deux tiers Ă lâAssemblĂ©e est nĂ©cessaire pour lâadmission dâun nouvel Ătat, lequel devient Membre Ă la date de lâadoption de la rĂ©solution dâadmission.
Ă chaque session, lâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale examine les pouvoirs de tous les reprĂ©sentants des Ă©tats Membres participant Ă la session. Au cours de cet examen, qui, dâordinaire, est confiĂ© en premier lieu Ă la Commission de vĂ©rification des pouvoirs, composĂ©e de neuf membres, mais peut sâeffectuer dans dâautres circonstances, on peut ĂȘtre amenĂ© Ă se demander si tel ou tel reprĂ©sentant a Ă©tĂ© accrĂ©ditĂ© par le gouvernement au pouvoir. Sâil y a controverse, la question est dĂ©finitivement tranchĂ©e Ă la majoritĂ© des voix Ă lâAssemblĂ©e. On notera que les changements normaux de gouvernements, notamment Ă lâissue dâĂ©lections dĂ©mocratiques, ne remettent pas en cause les pouvoirs du reprĂ©sentant de lâĂ©tat concernĂ©
Paix et sécurité
Le Conseil de sĂ©curitĂ© a la responsabilitĂ© principale du maintien de la paix et de la sĂ©curitĂ© internationales et il est habilitĂ©, en vertu du Chapitre VII de la Charte des Nations Unies, Ă recourir Ă la force militaire dans certaines circonstances pour maintenir ou rĂ©tablir la paix. Mais les fonctions de lâOrganisation dans le domaine du rĂšglement pacifique des conflits, qui fait lâobjet du Chapitre VI de la Charte, sont beaucoup plus Ă©tendues.
Le Chapitre VI appelle au rĂšglement des diffĂ©rends internationaux par voie de nĂ©gociation, dâenquĂȘte, de mĂ©diation, de conciliation, dâarbitrage, de rĂšglement judiciaire, de recours aux organismes ou accords rĂ©gionaux, ou par dâautres moyens pacifiques. Aux termes du Chapitre en question, tout Membre de lâOrganisation peut attirer lâattention du Conseil de sĂ©curitĂ© ou de lâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale sur un diffĂ©rend ou une situation qui pourrait entraĂźner un dĂ©saccord entre nations ou engendrer un diffĂ©rend. Le cas Ă©chĂ©ant, si le Conseil de sĂ©curitĂ© est saisi de la question, lâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale nâest pas habilitĂ©e Ă formuler des recommandations, Ă moins que le Conseil ne lui en fasse la demande. Un Ătat qui nâest pas Membre de lâOrganisation peut Ă©galement attirer lâattention du Conseil de sĂ©curitĂ© ou de lâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale sur tout diffĂ©rend auquel il est partie pourvu quâil accepte prĂ©alablement, aux fins de ce diffĂ©rend, les obligations de rĂšglement pacifique prĂ©vues dans la Charte.
Dans tout cas oĂč paraĂźt exister une menace contre la paix, une rupture de la paix ou un acte dâagression, et si le Conseil de sĂ©curitĂ© ne parvient pas Ă une dĂ©cision du fait que lâunanimitĂ© nâa pu se rĂ©aliser parmi ses membres permanents, lâAssemblĂ©e peut se rĂ©unir en session extraordinaire dâurgence dans les 24 heures qui suivent une demande Ă©manant soit du Conseil de sĂ©curitĂ©, Ă lâissue dâun vote affirmatif de neuf quelconques de ses membres, soit de la majoritĂ© des Membres de lâOrganisation. LâAssemblĂ©e peut alors faire aux Membres des recommandations appropriĂ©es sur les mesures collectives Ă prendre, y compris, sâil sâagit dâune rupture de la paix ou dâun acte dâagression, lâemploi de la force armĂ©e pour maintenir ou rĂ©tablir la paix et la sĂ©curitĂ© internationales.
LâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale Ă©lit les membres non permanents du Conseil de sĂ©curitĂ©. Elle Ă©lit Ă©galement les membres du Conseil Ă©conomique et social et certains membres du Conseil de tutelle. Avec le Conseil de sĂ©curitĂ©, elle Ă©lit les juges de la Cour internationale de Justice et, sur recommandation du Conseil de sĂ©curitĂ©, elle nomme le SecrĂ©taire gĂ©nĂ©ral. Les nouveaux Membres sont admis Ă lâOrganisation des Nations Unies par lâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale sur recommandation du Conseil de sĂ©curitĂ©.
LâAssemblĂ©e examine et approuve le budget annuel de lâensemble de lâOrganisation et rĂ©partit ses dĂ©penses entre tous les Ătats Membres. Elle dĂ©termine le pourcentage de la contribution de chacun en prenant en compte des facteurs tels que le revenu national, le revenu par habitant, tout dĂ©clin temporaire du revenu national et la capacitĂ© de se procurer des devises Ă©trangĂšres.
Décolonisation
Dans une dĂ©claration relative aux territoires non autonomes, la Charte proclame le principe de la primautĂ© des intĂ©rĂȘts des habitants des territoires dont les populations ne sâadministrent pas encore complĂštement elles-mĂȘmes, et ajoute que les Ătats Membres qui les administrent acceptent certaines obligations concernant le bien-ĂȘtre, le progrĂšs et le dĂ©veloppement de ces populations. En 1960, lâAssemblĂ©e a adoptĂ© une DĂ©claration sur lâoctroi de lâindĂ©pendance aux pays et aux peuples coloniaux, dans laquelle elle proclamait solennellement « la nĂ©cessitĂ© de mettre fin rapidement et sans conditions au colonialisme sous toutes ses formes et dans toutes ses manifestations ». Un comitĂ© spĂ©cial chargĂ© dâĂ©tudier la situation en ce qui concerne lâapplication de la DĂ©claration â communĂ©ment appelĂ© ComitĂ© des Vingt-Quatre â examine la situation des territoires non autonomes et fait des suggestions et recommandations Ă lâAssemblĂ©e.
Aux termes de la Charte, un rĂ©gime international de tutelle a Ă©tĂ© mis en place pour lâadministration et la surveillance des territoires placĂ©s sous ce rĂ©gime par les Ătats Membres. Avec lâassistance du Conseil de tutelle, lâAssemblĂ©e exerce les fonctions de lâOrganisation en ce qui concerne les accords de tutelle relatifs aux territoires non dĂ©signĂ©s comme zones stratĂ©giques. En ce qui concerne les zones stratĂ©giques, câest le Conseil de sĂ©curitĂ© qui exerce ces fonctions. Les objectifs fondamentaux du rĂ©gime international de tutelle sont la promotion du progrĂšs politique, Ă©conomique et social des populations des territoires sous tutelle et leur progression vers lâautonomie ou lâindĂ©pendance.
Outre les questions quâelle examine directement en sĂ©ance plĂ©niĂšre, lâAssemblĂ©e renvoie la plupart des points figurant Ă son ordre du jour Ă lâune de ses six grandes commissions. Les commissions examinent ces divers points de lâordre du jour, puis formulent des propositions Ă lâintention de lâAssemblĂ©e gĂ©nĂ©rale, qui se prononce Ă leur sujet en sĂ©ance plĂ©niĂšre. Dans les commissions et dans les sous-commissions, les dĂ©cisions sont prises Ă la majoritĂ© simple.
Grandes commissions
Chaque Ătat Membre est reprĂ©sentĂ© au sein des six grandes commissions. La PremiĂšre traite des questions de dĂ©sarmement et de sĂ©curitĂ© internationale; la DeuxiĂšme des questions Ă©conomiques et financiĂšres; la TroisiĂšme des questions sociales, humanitaires et culturelles; la QuatriĂšme des questions politiques spĂ©ciales et de la dĂ©colonisation; la CinquiĂšme des questions administratives et budgĂ©taires; la SixiĂšme des questions juridiques.
Lâorganisation des travaux des sessions de lâAssemblĂ©e est de la responsabilitĂ© du Bureau, qui est constituĂ© dâun prĂ©sident, de 21 vice-prĂ©sidents et des prĂ©sidents des six grandes commissions. Le Bureau fait des recommandations Ă lâAssemblĂ©e quant aux points qui doivent ĂȘtre inscrits Ă lâordre du jour de la session.
Au dĂ©but de chaque session, lâAssemblĂ©e nomme, sur proposition du PrĂ©sident, une commission de vĂ©rification des pouvoirs, qui lui prĂ©sente un rapport sur les pouvoirs des dĂ©lĂ©guĂ©s prĂ©sents Ă la session.
LâAssemblĂ©e bĂ©nĂ©ficie Ă©galement du concours de deux comitĂ©s permanents : le ComitĂ© consultatif pour les questions administratives et budgĂ©taires et le ComitĂ© des contributions. Tous deux sont nommĂ©s par lâAssemblĂ©e.
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