« L’indiffĂ©rence tue » : les voix de la culture s’élĂšvent pour les otages israĂ©liens encore dans les tunnels de Gaza

AprĂšs la diffusion des images insoutenables d’Evyatar David et de Rom Breslavski aux mains du Hamas, une onde de choc a secouĂ© IsraĂ«l et bien au-delĂ . Des chanteurs, acteurs, musiciens et personnalitĂ©s internationales se sont ruĂ©s sur les rĂ©seaux sociaux pour crier ce que tant de familles hurlent depuis des mois : « Ramenez-les maintenant ! ».
Car pendant que certains sirotent un café sur la plage ou postent des selfies, 50 Israéliens sont toujours otages dans les entrailles de Gaza, dont une vingtaine encore vivants, chaque minute les rapprochant de la mort.

Le chanteur et acteur Ran Danker a lancĂ© un appel sec et direct : « Il faut s’unir et exiger leur libĂ©ration en une seule fois, maintenant. » Puis il a ajoutĂ© une phrase qui claque comme une gifle : « L’indiffĂ©rence tue comme le feu de l’enfer. »

L’actrice Maya Dagan, elle, ne mĂąche pas ses mots : « On ne peut plus se taire. On ne peut pas continuer comme si de rien n’était. Ils sont lĂ , et ils s’éteignent sous nos yeux. Ramenez-les, ça suffit ! »

Le musicien Rami Kleinstein, bouleversĂ©, pose la question qui dĂ©range : « Comment peut-on voyager, aller Ă  la mer, visiter une expo, acheter une voiture, chanter de joie Ă  la radio
 alors qu’Evyatar David et Rom Breslavski sont rĂ©duits Ă  peau et os sous terre ? » Et d’enfoncer le clou : « Cinquante otages encore captifs. Vingt encore vivants. Leur temps s’épuise. Aujourd’hui c’est Tisha BeAv, le jour du deuil juif. Et un dĂ©sastre se joue maintenant pour notre peuple. Ramenez-les. Chez eux. Maintenant. »

MĂȘme Ă  l’étranger, la clameur monte. La chanteuse britannique Jessie J a partagĂ© la vidĂ©o d’Evyatar David en pleurant : « Je ne peux pas supporter la cruautĂ© de ce monde. S’il te plaĂźt, Dieu, arrĂȘte cette souffrance. »

La star israĂ©lienne Noa Kirel, visage rayonnant de la pop, a publiĂ© un message coup de poing : « Le cƓur est brisĂ©. Pas une heure ne passe sans que je pense Ă  lui et Ă  sa famille. Ramenez-les Ă  la maison, tous. »

L’actrice Noa Koler a criĂ© son ras-le-bol : « Assez ! Sortez-les de cet enfer. ArrĂȘtez la guerre. »
Et l’humoriste Eli Finish, lassĂ© des hypocrisies mĂ©diatiques, prĂ©cise : « Oui, j’ai mal pour la faim Ă  Gaza. Mais seulement pour nos frĂšres prisonniers, pas pour nos ennemis hypocrites. »

Le chanteur Omer Adam, suivi par des millions de fans, s’est exprimĂ© en anglais : « Inconceivable that our brothers are still held in Gaza. See it, and don’t believe it. »
Enfin, Omri Glikman, leader du groupe Hatikva 6, a glissĂ© une promesse : « Evyatar, on se reverra. Je refuse d’imaginer autre chose. »

Ce concert de voix, du rap Ă  la chanson sentimentale, du cinĂ©ma Ă  l’humour, n’est pas un simple geste mĂ©diatique. C’est un cri d’alarme contre l’oubli. Car chaque jour sans action rapproche ces hommes et femmes de la mort, et rend la sociĂ©tĂ© israĂ©lienne complice par son silence.

Et pour ceux qui, confortablement installĂ©s dans leur salon, se disent « c’est loin » — sachez qu’en rĂ©alitĂ©, les tunnels de Gaza sont Ă  moins d’une heure de route de Tel-Aviv. Ce n’est pas un autre monde, c’est notre maison. Et notre maison brĂ»le.

La leçon est simple : on ne gagne pas la guerre par des communiquĂ©s creux. On gagne par des actes. Comme le disait Trump lors des Accords d’Abraham, « La paix ne se nĂ©gocie pas avec des terroristes, elle se gagne en les mettant hors d’état de nuire. »

Aujourd’hui, ce n’est pas seulement l’armĂ©e israĂ©lienne qui est interpellĂ©e, mais chaque citoyen, chaque diaspora, chaque voix. Car le Hamas joue la montre, et chaque minute de silence leur donne l’avantage.

âžĄïž Voir aussi :

Parce que dans cette guerre, l’indiffĂ©rence est l’arme la plus silencieuse
 mais aussi la plus meurtriĂšre.


RĂ©daction francophone Infos Israel News pour l’actualitĂ© israĂ©lienne
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