Alors que le régime de Téhéran continue de financer le terrorisme régional, d’armer le Hezbollah et le Hamas et de menacer Israël de destruction, il ne parvient même plus à fournir un bien élémentaire à sa propre population : l’eau. Le « pays des fleuves » d’autrefois est désormais frappé par une sécheresse et une mauvaise gestion si profondes que ses experts parlent d’un « point de non-retour ».
Selon les derniers rapports de la compagnie iranienne de gestion des ressources hydriques, les 12 barrages principaux du pays sont tombés en dessous de 10 % de leur capacité. Trois d’entre eux se sont même totalement asséchés, laissant derrière eux des lits de boue et de poussière, symbole de l’effondrement d’un système.
Un effondrement systémique
Kaveh Madani, expert iranien reconnu dans le domaine, a qualifié la situation de « défaillance systémique irréversible ». Et pour cause : le problème n’est pas uniquement climatique. L’Iran paie le prix de décennies de gaspillage agricole, d’irrigations archaïques, d’extraction abusive des nappes phréatiques et surtout de corruption généralisée. Les milliards investis dans les missiles balistiques et les drones kamikazes auraient pu financer des infrastructures modernes de traitement et de recyclage de l’eau. Le régime a choisi la guerre au lieu de la vie.
Une bombe sociale à retardement
Pour la population iranienne, la situation est dramatique. Des millions d’Iraniens font face à des pénuries d’eau potable, tandis que l’agriculture – principale source de revenus pour une grande partie du pays – s’effondre. Des champs entiers sont laissés à l’abandon, des éleveurs bradent leur bétail et dans les grandes villes, des files d’attente interminables se forment devant les rares points de distribution. La colère gronde déjà, et les manifestations liées à la pénurie d’eau s’ajoutent aux protestations contre la répression politique.
Quand la propagande cache la soif
Le contraste est saisissant : alors que les médias officiels continuent de mettre en scène les parades militaires et les slogans anti-israéliens, la réalité est celle d’un peuple qui n’a plus de quoi boire. Téhéran accuse Israël, les sanctions ou encore le « réchauffement climatique occidental », mais la vérité est limpide : c’est l’incapacité chronique du régime à gérer ses ressources qui a mené à cette catastrophe.
Une menace régionale
Un Iran assoiffé, c’est aussi un Iran instable. L’histoire montre que les États faillis deviennent des terrains fertiles pour la violence et l’exportation de crises. Déjà, les tensions frontalières avec l’Irak et l’Afghanistan autour de l’accès à l’eau s’intensifient. Si le régime échoue à sécuriser les besoins vitaux de ses habitants, il pourrait chercher à détourner l’attention par une escalade militaire, comme il l’a déjà fait à maintes reprises. Israël, cible favorite de la propagande iranienne, reste en première ligne.
Une faillite morale
Israël, pays semi-aride, a su relever ce défi grâce à des choix courageux et stratégiques : usines de dessalement, recyclage des eaux usées, technologies agricoles de pointe et coopération internationale. Infos-Israel.News rappelle que plus de 80 % des eaux usées israéliennes sont retraitées, un record mondial. L’Iran, lui, préfère investir dans le Hezbollah et dans les milices houthies plutôt que dans des canalisations. Ce n’est pas seulement un échec technique, c’est une faillite morale.
Un futur incertain
Peut-on sauver l’Iran de la soif ? Les spécialistes en doutent. Même si de nouveaux barrages se remplissaient miraculeusement, les changements chimiques et structurels des réservoirs déjà asséchés les rendraient inutilisables pendant des années. La « République islamique » a sans doute raté son rendez-vous avec l’histoire : elle pourrait devenir le premier État moderne à s’effondrer non pas sous les bombes, mais sous l’absence d’eau.
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