L’Iran transfère des centaines de millions de dollars en espèces reçus de l’administration Biden au Hezbollah pour lui permettre de continuer à exister.

« Alors que beaucoup pensent que la visite au Liban d’Ali Larrijani, le principal collaborateur du guide suprême iranien Khamenei, visait à garantir que tous les dirigeants libanais restent sous le contrôle total de Téhéran, le véritable objectif de la visite était pour Rijani de renforcer le pouvoir du Hezbollah avec des  « Coffres avec 150 millions de dollars en espèces », c’est ce qu’affirme une source libanaise selon des sources bien informées.

« Des parlementaires et dirigeants politiques du Hezbollah dorment dans leurs bureaux à côté du parlement libanais (où la photo ci-dessous a été prise), sur la place Naima, pour rester à l’écart de la zone de combat. »

« Israël le sait mais ne les attaque pas par respect pour l’Etat du Liban. »

Larijani a rencontré les dirigeants politiques du Hezbollah au centre-ville de Beyrouth.

Afin de maintenir les liquidités de l’organisation, afin qu’elle puisse continuer à faire fonctionner ses troupes, de hauts responsables iraniens se sont rendus au Liban en moyenne une fois par mois, avant même Larijani.

Le ministre des Affaires étrangères Arakji et le président Kalibef ont atterri à Beyrouth à bord d’avions du gouvernement iranien chargés de dollars en espèces, les mêmes dollars que l’administration Biden a débloqués et destinés à payer la vente de l’énergie iranienne à l’Irak.

Larijani a atterri à Damas et a traversé en voiture jusqu’au Liban parce qu’Israël oblige tous les avions allant de l’Iran à Beyrouth à faire demi-tour.

Plus tard en novembre, le Hezbollah a versé aux Libanais déplacés du sud 300 dollars pour une famille de quatre personnes et 100 dollars pour un adulte célibataire, provenant de l’argent iranien.

Notez que les Iraniens eux-mêmes souffrent d’une pauvreté extrême, que leur monnaie nationale est en chute libre, tandis que le régime islamiste iranien utilise l’argent dont l’Iran a désespérément besoin pour financer son empire au Moyen-Orient.

Alors qu’Israël a atteint ses objectifs militaires en écrasant le Hezbollah, la lutte est désormais terminée en empêchant le Hezbollah de se rétablir avec des livraisons d’armes iraniennes (que Tsahal empêche désormais de transmettre) et de l’argent.

Force est de constater que l’argent parvient à se glisser au Liban. L’armée israélienne a tenté de convaincre l’État et l’armée libanais de prendre le relais et de continuer à affamer la milice du Hezbollah (c’est-à-dire à faire respecter la résolution 1701 du Conseil de sécurité des Nations unies), mais jusqu’à présent, il semble que l’État libanais ne soit pas à la hauteur de la tâche.

Pendant ce temps, Elon Musk pense qu’il va là où personne n’est allé auparavant lors de sa rencontre avec l’envoyé iranien à l’ONU à New York.

Les Iraniens l’ont trompé et ont divulgué la nouvelle au New York Times. La raison pour laquelle l’Iran islamiste a fait cela était de signaler à ses rivaux (Arabie Saoudite, Golfe) et à tout Libanais ou Irakien qui pense que la victoire de Trump est le bon moment pour abandonner l’Iran. Les Iraniens signalent donc que la victoire de Trump ne changera pas le régime islamiste .

Lorsque Larijani a atterri à l’aéroport de Beyrouth, son équipe de sécurité a été arrêtée par l’armée libanaise à l’aéroport et ils n’ont pas été autorisés à entrer dans le pays parce qu’ils ne voulaient pas permettre l’inspection du contenu des bagages qu’ils avaient amené sur le sol libanais avec l’entourage.