Le siège de l’ONU à New York a confirmé ce vendredi que Yom Kippour sera reconnu comme un jour férié à l’ONU et qu’il n’y aura pas de discussions formelles lors de ce jour de congé pour les employés.

Cette décision faite suite à l’intervention de l’ambassadeur d’Israël, Danny Danon aux Nations Unies avec la délégation des États-Unis de l’ONU dirigée par l’Ambassadrice Samantha Power. Cette décision est une victoire diplomatique contre les éléments anti-israéliens de l’ONU qui ont agi pour empêcher cette décision . »

 » Yom Kippour est le jour le plus saint du peuple juif, et l’Organisation des Nations Unies doit reconnaître son importance, ce qui n’a pas été fait depuis de nombreuses années, « a dit l’ambassadeur Danon.

Après la décision, il a ajouté : « Ceci est un amendement à l’injustice historique contre le peuple juif et l’Etat d’Israël ».

Cette démarche diplomatique a éclos, comme mentionné, en coopération avec la délégation américaine à l’Organisation des Nations Unies qui, à travers la coopération entre les deux pays, a neutralisé la majorité contre Israël. « Le partenariat américano-israélien est un partenariat des Nations Unies du bien contre le mal, et le bien a vaincu le mal », a-t-il dit .

L’ambassadeur a expliqué la signification de la décision : « Les valeurs de justice ancrées dans la religion et la culture juive feront aussi partis des nations du Parlement, et feront partie de la mémoire historique de l’organisation qui a penché régulièrement contre Israël ».

A ce jour, l’ONU a reconnu dix jours fériés, y compris Noël et l’Aïd Kebir. La résolution stipule que Yom Kippour sera aussi un jour férié par l’ONU, qui donne une reconnaissance internationale de l’importance de la religion juive, et permet également pour les travailleurs juifs de prendre un jour de congé, sans que ce soit au détriment des vacances qui leur sont dues par la loi.

La décision signifie qu’il n y aura pas de discussions formelles et de votes pendant Yom Kippour, car dans la situation précédente, les juifs ont été forcés d’être absents lors de ces discussions tenues le même jour, ou ont été obligés d’y assister le jour de Yom Kippour.