Le vaccin AstraZeneca, en collaboration avec l’Université d’Oxford, devrait être efficace à 82,4%.

La dernière mise à jour sur le vaccin COVID d’AstraZeneca d’Oxford a été publiée ce mardi après-midi dans un rapport universitaire offrant le meilleur aperçu du moment où l’immunité induite par le nouveau vaccin commence et l’efficacité du vaccin après sa première dose et après sa deuxième dose.

Pendant ce temps, les données n’ont pas été fournies au gouvernement français qui a approuvé le vaccin par son chef, le président Emanuel Macron, qui a pris soin de déclarer aux journalistes étrangers que le vaccin ne devrait être administré qu’aux personnes de moins de 65 ans en raison de problèmes de santé, car il pense tout simplement qu’il ne sera pas efficace pour la population âgée, selon les propos de Macron.

Pendant ce temps, sans surprise, les données offrent une lecture plus optimiste que celle publiée pour la première fois par AstraZeneca dans le rapport intermédiaire.

Le rapport indique que le vaccin est généralement plus efficace si les médecins attendent environ trois mois avant de vacciner un patient lors de la deuxième dose, une mesure qui soutient les politiques britanniques actuelles contrairement à Israël et aux États-Unis où le calendrier de vaccination prévu par la FDA est 21 jours après le premier vaccin.

Selon l’équipe de recherche, la première dose à elle seule offre une protection de 76% contre le COVID symptomatique 22 jours après la vaccination.

Ainsi, il offre une protection continue pendant 3 mois, même sans recevoir la deuxième dose – des données qui ont déjà fait d’AstraZeneca une opportunité de marketing. Les nouvelles données, pour ainsi dire, montrent qu’il est possible de faire la deuxième dose en attendant jusqu’à 14 semaines ; Cela signifie qu’il est moins dangereux de donner aux patients l’injection d’AstraZeneca car les patients ne seront pas gravement blessés en conséquence. Après la deuxième dose, l’immunité passe de 76% à 82,4%, selon les données pour un intervalle de 3 mois.

Les responsables ont apparemment espéré que le rapport contribuera à établir un soutien public pour le vaccin, qui devrait être commercialisé en Europe, où des milliards de doses ont déjà été signées. Cependant, certains affirment que le vaccin russe Spoutnik V est encore plus efficace.

Malgré tout, le vaccin britannique a reçu des réponses «problématiques» du président français Emmanuel Macron et des autorités françaises concernant son efficacité pour les plus âgées, mais était-ce dû à la jalousie contre les britanniques qui a poussé la France dans de telles déclarations ? Ou pour d’autres raisons en particulier. Les autorités sanitaires françaises approuvent mais aussi préviennent que le vaccin ne doit être administré qu’aux personnes de moins de 65 ans.

Après des rapports initiaux publiés à la fin de l’année dernière, certains effets indésirables sur la santé ont été suggérés chez les patients âgées, et c’est la raison pour laquelle Macron prétend que le vaccin est «presque inefficace pour les personnes âgées».

Pendant ce temps, la France a en effet approuvé le vaccin mais ce pays est toujours classé aujourd’hui parmi les pays les plus sceptiques sur les vaccins parmi les principales économies d’Europe.