Macron voulait parler au cœur des Israéliens – il n’a fait que confirmer qu’il est un menteur professionnel

Jeudi soir, la chaîne Hadashot 12 a diffusé l’interview exclusive de Yoni Levy avec le président français Emmanuel Macron. Un moment qui aurait pu être historique : après tout, la France est une puissance mondiale, et il est rare que son président accepte de se livrer en direct aux téléspectateurs israéliens. Mais derrière la mise en scène solennelle, ce fut surtout un coup politique désespéré, sans sincérité ni courage, mené par un dirigeant affaibli et détesté jusque dans son propre pays.

Dès les premières minutes, Macron a tenté de jouer sur l’émotion, affirmant partager « la douleur infinie » du 7 octobre. Des mots creux, car dans les faits, la France – comme une grande partie de l’Europe – n’a cessé de critiquer Israël dès que Tsahal a pris la seule décision possible : détruire le Hamas. Macron dit « reconnaître le droit d’Israël à se défendre », mais il refuse le seul moyen réel d’assurer qu’un autre massacre du 7 octobre ne se reproduise pas. Hypocrisie totale : donner la permission de se défendre, mais exiger qu’on renonce à vaincre l’ennemi.

Pire encore, Macron ose accuser Israël de « colonialisme » après le vote de la Knesset sur la Judée-Samarie. Un propos indigne, venant du chef d’un pays dont l’histoire coloniale couvre l’Afrique, l’Asie et le Moyen-Orient. Il s’agit du discours habituel des antisémites modernes, qui cherchent à nier l’ancrage millénaire du peuple juif en Terre d’Israël. Là encore, Macron ne propose rien de concret. Son obsession reste la chimère d’un État palestinien « pacifique », une illusion déjà réfutée par trente années d’attentats, d’endoctrinement et de corruption.

En réalité, cet entretien n’avait qu’un but : redorer l’image internationale de Macron et détourner l’attention du chaos en France – immigration incontrôlée, menace islamiste intérieure, crise économique et une instabilité politique telle que Paris change de Premier ministre comme on change de chemise. Pendant que son pays sombre, Macron tente d’exister sur la scène internationale en attaquant Israël, seul État démocratique et stable du Moyen-Orient.

Israël, de son côté, n’a pas besoin des leçons de moralité d’un président en fin de règne. Comme l’a montré l’histoire, notre survie ne dépendra jamais des discours creux d’élites européennes. Elle repose sur la force de Tsahal, sur l’unité nationale et sur l’alliance indéfectible avec les États-Unis et les peuples libres. Macron partira de l’Élysée en 2027. Israël, elle, restera – plus forte que jamais.

 


Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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