L’Autorité Palestinienne « modérée » ne semble pas si intégrée à la société d’aujourd’hui et continue à combiner entre coutumes et traditions en ne respectant pas le droit des enfants et leur protection.
Les jeunes filles palestiniennes sont les victimes de ces lois islamistes, où la femme et la fillette sont considérées comme une marchandise achetée et vendue à des prix ridicules, par des mariages compulsifs et la privation des droits les plus fondamentaux à la vie.
Qarane, n’a que 14 ans, et elle va entamer son troisième mariage. Lors de son premier mariage ses parents l’ont forcée à épouser un déficient sans aucune culture, lui interdisant de jouer ou même de se rendre à l’école.
Elle a affirmé « Il a fallu se soumettre à un homme plus âgé que moi de plus de 15 ans, et approuvé par les parents, sans que personne ne m’ait posé la question. Je suis assise avec lui et il me parle et je l’ai écouté avec le cœur d’un enfant et sans me rendre compte ou inconsciemment, j’ai écouté ses paroles « tu es une très jolie fille, et tous les yeux se tournent vers moi » ensuite il est parti en Turquie, et m’a laissée, mais je ne se souciais pas de tout cela, je ne comprenais pas ce que cela signifiait de toute façon ».
Puis on m’a remarié à l’âge de 14 ans et demi, m’obligeant à espérer vers quelqu’un d’autre, et mes parents ont recommencé la même tragédie à nouveau, mais cette fois-ci je portais une robe blanche et je suis allée avec un homme de 13 ans mon aîné ».
Ajoutant : « Je me suis mariée pour la deuxième fois et je suis toujours une enfant. Je suis entrée dans sa maison et quand je suis entrée, il y avait le feu, je n’exagère quand je dis « le feu », il m’a battue comme un animal sans que je ne fasse quoi que ce soit ».
Le jour où je me suis réveillée pour préparer à mon mari une tasse de café, il a jeté la tasse chaude sur mon visage et j’ai quitté la maison chez mes parents et demandé le divorce.
Suite à ce divorce, ses parents l’ont obligé à épouser un homme de 17 ans de plus que son âge avec quatre enfants, et aujourd’hui, elle doit prendre soin de sa mère malade, de ses enfants et faire des travaux ménagers. Il lui est interdit de sortir de la maison.
Le cas de cette jeune fille peut être lu sur la site source en langue Arabe.