Massacre de Jérusalem : les six victimes identifiées, symboles d’un Israël meurtri mais debout

L’attaque terroriste de ce lundi à Jérusalem-Est, revendiquée par le Hamas, a plongé Israël dans un nouveau deuil. Six innocents ont été assassinés à bout portant, alors qu’ils attendaient simplement leur bus ou se rendaient à leur travail. Les familles, les proches et l’ensemble du peuple d’Israël pleurent aujourd’hui des vies arrachées dans une scène de barbarie qui rappelle une fois de plus la nature de l’ennemi.

Parmi les victimes figure Levi Yitzhak Pash, employé de la Yeshiva Kol Torah, un homme connu pour son sérieux et son dévouement. Ses collègues décrivent un éducateur chaleureux, dévoué à transmettre les valeurs de la Torah.

Une autre victime dont le nom a été rendu public : Israël Matsner, de 28 ans, de Jérusalem,

La deuxième victime identifiée est Yaakov Pinto, 25 ans, un immigrant originaire d’Espagne. Sa jeunesse et son destin interrompu font écho à tant d’autres vies fauchées depuis le 7 octobre. L’ironie tragique est lourde de sens : alors que le Premier ministre espagnol Pedro Sánchez choisit de sanctionner Israël au lieu de condamner ses assassins, c’est un de ses propres ressortissants qui tombe sous les balles du terrorisme islamiste à Jérusalem.

La deuxième victime assassinée dans l’attaque : Yaakov Pinto, de 25 ans, immigré d’Espagne, que Dieu ait son âme.

Un troisième nom s’ajoute à la liste : Yisrael Menzer, dont la famille a reçu la terrible nouvelle en milieu de journée.

Le rabbin Yosef David, de 43 ans, originaire de Jérusalem, a été assassiné lors d’une attaque alors qu’il se tenait à l’arrêt de bus en route vers le Kollel, ses livres à la main.

Le quatrième, Yosef David, 43 ans, père de famille de Jérusalem, a été abattu alors qu’il tenait ses livres religieux dans les mains, en route vers le kollel. Son image, figée dans le récit des témoins, dit tout : celle d’un Juif debout, ancré dans son identité, frappé par la haine antisémite la plus brute.

Il est permis de publier le nom de la cinquième victime : le rabbin Mordechai Steinzag, de mémoire bénie, âgé de 79 ans

Le cinquième, Mordechai Steintzag, 79 ans, propriétaire de la célèbre boulangerie Dr. Mark à Beit Shemesh, a été assassiné sur le chemin du travail. Sa mort illustre la brutalité du terrorisme : aucune distinction entre jeunes ou vieux, religieux ou laïcs, travailleurs ou étudiants. Seul compte l’acte de tuer.

Enfin, la sixième victime est Sarah Mendelson, 60 ans, figure du mouvement de jeunesse Bnei Akiva où elle occupait un poste de direction dans le département financier. Ironie tragique : elle avait récemment pris part à une cérémonie en mémoire des jeunes assassinés au festival Nova le 7 octobre. Aujourd’hui, elle rejoint elle-même la longue liste des victimes du terrorisme palestinien.

Une autre personne assassinée dans l’attaque de ce matin : Sarah Mendelson, de mémoire bénie, 60 ans, du quartier Ramat Shlomo à Jérusalem

Le Hamas a salué l’attentat comme une « réponse naturelle ». Une rhétorique macabre qui vise à justifier l’injustifiable et à glorifier des meurtriers qui n’ont rien d’autre à offrir que la mort. Pendant ce temps, à l’international, certains dirigeants persistent à parler d’« équilibre » et de « processus politique » — oubliant qu’Israël fait face à une organisation pour qui la paix n’est pas une option, mais une trahison de son idéologie.

Cet attentat démontre une fois de plus que la bataille d’Israël est existentielle. Le terrorisme ne choisit pas ses cibles, il vise tout ce qui est juif, tout ce qui est israélien. La mémoire des victimes, de Levi à Sarah, oblige Israël à continuer de lutter pour sa survie et à rappeler au monde qu’il ne s’agit pas d’un « conflit territorial », mais bien d’une guerre contre une idéologie de haine.

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