
Quand Jean-Luc Mélenchon parle d’Israël, ce n’est jamais pour dire la vérité. Depuis les universités d’été de La France insoumise, le tribun d’extrême gauche a une nouvelle fois frappé. Se disant « solidaire » d’Emmanuel Macron après les critiques de Benjamin Netanyahou sur la montée de l’antisémitisme en France, Mélenchon a osé déclarer que « le raciste numéro un, c’est Netanyahu » et que le Premier ministre israélien « propage l’antisémitisme ».
La méthode Mélenchon : inverser les rôles
Rien de surprenant : fidèle à son habitude, Mélenchon inverse les responsabilités. Celui qui combat le Hamas, organisation terroriste islamiste génocidaire, devient soudain le grand coupable mondial de l’antisémitisme. Et Emmanuel Macron, qui a décidé de reconnaître un « État palestinien » au moment même où les Juifs de France sont frappés par une vague de violences sans précédent, devient un héros à défendre.
C’est le monde à l’envers.
L’obsession anti-israélienne
Mélenchon ne rate jamais une occasion de taper sur Israël. Sa rhétorique est connue : Israël serait « raciste », « colonial », « génocidaire ». Les islamistes, eux, ne sont jamais coupables, seulement « résistants ». Même quand ils massacrent des enfants juifs le 7 octobre, Mélenchon trouve toujours une formule pour relativiser.
Ce discours plaît à son électorat islamo-gauchiste, mais il alimente directement la haine anti-juive en France. Ceux qui, aujourd’hui, s’en prennent aux Juifs dans les rues de Paris ou de Lyon ne se réclament pas de Netanyahu, mais bel et bien du narratif martelé par Mélenchon et ses alliés.
Netanyahu pointe là où ça fait mal
Le tort de Benjamin Netanyahu ? Avoir dit la vérité dans une lettre officielle : la décision française de reconnaître la Palestine nourrit le feu antisémite. Les chiffres sont implacables : les actes antisémites ont explosé en France ces dernières années. Les Juifs de France le disent eux-mêmes : ils ont peur.
Plutôt que d’assumer cette réalité, Mélenchon préfère tirer sur Israël pour protéger Macron… et surtout son propre camp idéologique.
Les Juifs de France pris en otage
« Netanyahu ne représente pas les Juifs de France », a ajouté Mélenchon, arguant que seuls leurs députés élus les représentent. Belle formule… qui évite soigneusement de reconnaître que les Juifs français vivent aujourd’hui dans une insécurité croissante. Pour eux, Israël est bien plus qu’un « gouvernement étranger » : c’est un refuge, une garantie de survie, une patrie prête à les accueillir.
En traitant Netanyahu de « raciste numéro un », Mélenchon insulte indirectement tous ceux qui voient en Israël leur protection face à l’antisémitisme.
Conclusion : Mélenchon, toujours du mauvais côté de l’histoire
On connaît le refrain : quand les islamistes attaquent, Mélenchon détourne. Quand l’antisémitisme explose, il accuse Israël. Quand un président français trahit les Juifs en reconnaissant un État fantoche de Palestine, il le couvre de louanges.
L’histoire jugera. Mais déjà, l’opinion publique israélienne et la communauté juive mondiale voient clair dans ce jeu : Mélenchon n’est pas seulement un adversaire d’Israël, il est devenu l’un des relais les plus bruyants de la propagande anti-juive en Europe.
👉 Retrouvez nos décryptages sans complaisance sur Infos-Israel.News, ainsi que chez nos partenaires Alyaexpress-News et Rak BeIsrael.
.