Mensonge du “génocide” et de la “famine” à Gaza : les chiffres démentent la propagande du Hamas et de l’ONU

Les faits contredisent le récit victimaire entretenu depuis un an par le Hamas et ses relais internationaux. Selon des analystes indépendants cités par Aizenberg, le taux de civils tués à Gaza est l’un des plus faibles de l’histoire militaire moderne. Quant à la “famine” annoncée par l’ONU, elle s’avère être un montage grossier : moins de 200 décès recensés contre 10 000 prédits.

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La machine de propagande du Hamas s’est fissurée. Derrière les mots “génocide” et “famine”, répétés à l’envi par les médias occidentaux et certaines agences onusiennes, les chiffres dévoilés par plusieurs observateurs montrent une réalité très différente.
D’après une analyse publiée par l’expert Aizenberg sur X (ex-Twitter), la proportion entre civils et combattants tués à Gaza depuis octobre 2023 est de 1,39, soit l’un des ratios les plus faibles jamais observés dans une guerre urbaine. Autrement dit, pour chaque combattant éliminé, 1,39 civil aurait été tué — un chiffre sans commune mesure avec les conflits de Mossoul, Alep ou Grozny, où les rapports civils/militaires dépassaient 9 pour 1.

Ce ratio, appuyé par plusieurs organismes israéliens et confirmé par les relevés de l’armée, démontre la précision des frappes de Tsahal et la rigueur éthique de ses opérations. Contrairement aux accusations de “crimes de guerre”, Israël a appliqué une doctrine de ciblage méticuleuse, souvent au prix d’un risque accru pour ses soldats. Le Jerusalem Post rappelait encore récemment que plus de 320 soldats israéliens avaient été tués dans des combats rapprochés, “preuve d’une volonté d’épargner les civils, quitte à payer un lourd tribut humain”.

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Sur le plan humanitaire, une autre intoxication majeure s’effondre : la soi-disant “famine de Gaza” déclarée le 22 août par l’IPC (Integrated Food Security Phase Classification), un organisme lié à l’ONU. D’après leurs propres projections, 10 000 personnes devaient succomber à la malnutrition d’ici au cessez-le-feu du 10 octobre. Or, les chiffres officiels du Hamas et de l’UNRWA eux-mêmes indiquent seulement 192 décès liés à la sous-alimentation, dont la majorité souffrait déjà de maladies chroniques. Autrement dit : un écart de 98 % entre les prédictions catastrophistes et la réalité.

Pour Amir Tsarfati, fondateur du réseau Behold Israel, “il n’y a jamais eu de famine — seulement une guerre de l’image orchestrée pour délégitimer Israël”. Dans un message publié à l’aube du 22 octobre, il résume ainsi : “Final Gaza fake famine analysis: it was always a hoax.”

Les experts israéliens du Centre Begin-Sadate d’études stratégiques vont plus loin : ils dénoncent la manipulation méthodique de la terminologie humanitaire par des ONG infiltrées par le Hamas. Selon leurs enquêtes, “plus de 40 % des organisations actives dans la bande de Gaza ont des membres liés directement ou indirectement à des factions terroristes”. Le but : fabriquer un récit émotionnel, détourner les aides internationales et transformer chaque rapport humanitaire en outil politique.

L’ONU, elle, continue de réclamer “l’ouverture totale des passages humanitaires”, tout en restant silencieuse sur les centaines de tonnes de vivres et de carburant détournées quotidiennement par le Hamas au détriment des civils. Selon un rapport du Times of Israel du 20 octobre, “près de 60 % des camions d’aide humanitaire sont interceptés par des miliciens avant d’atteindre les civils”.

Cette désinformation a un coût : elle affaiblit la crédibilité du droit international et renforce les régimes qui instrumentalisent les chiffres pour servir une guerre idéologique contre Israël. L’État hébreu, lui, poursuit sa politique d’aide ciblée. Plus de 15 000 tonnes d’aliments et de médicaments ont été transférées à Gaza via Kerem Shalom depuis janvier, sous supervision israélienne directe.

“Les vrais crimes humanitaires sont ceux du Hamas, qui vole la farine, stocke les obus sous les hôpitaux et utilise ses civils comme boucliers”, rappelait hier un porte-parole du COGAT.
Face à la manipulation massive de l’opinion, Israël continue de défendre une vérité simple : une armée démocratique n’a pas mené un génocide, mais une guerre nécessaire contre un mouvement terroriste.

La bataille de Gaza n’est plus seulement militaire. Elle se joue désormais dans les esprits, entre les mensonges de ceux qui fabriquent la haine et les faits que publie la démocratie israélienne. Et, comme souvent dans l’Histoire juive, la vérité finira par survivre au vacarme des faussaires.


Rédaction francophone Infos Israel News pour l’actualité israélienne
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