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Le système de sécurité se prépare à l’expansion des tirs dans le centre du pays en provenance du front sud et nord suite à la forte probabilité de l’élimination de Mohamed Daf ce Shabath avec son associé qui pour rapelle avec Sinwar sont les architectes du 7 octobre.

Une personnalité politique du bureau de Netanyahu a annoncé que le Premier ministre a approuvé l’opération hier soir (l’opération proprement dite n’a commencé que ce matin). Tout au long de la journée, le Premier ministre a suivi de près et fait le point sur les détails.

Aujourd’hui, dans l’après-midi, le Premier ministre a procédé à une évaluation téléphonique de la situation. Plus tard dans l’après-midi , le Premier ministre Netanyahu a procédé à une autre évaluation de la situation à la Kirya

Les dons sont la bienvenue en cette situation particulièrement difficile  :

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Netanyahu, a rajouté que d’autres jours de combats et de difficultés nous attendent

Concernant l’operation d’élimination, il a ajouté que hier soir à minuit, il a vérifié trois éléments d’une grande importance  :

1. Qu’il n’y a pas de personnes enlevées autour de lui
2. L’étendue des dommages collatéraux
3. Le type d’armement a utiliser

Après avoir reçu les réponses à ce sujet, il a autorisé la frappe de 5 bombes JDAM de 1000 kg!

Le ministre Gantz est aussi intervenu :

« Que la neutralisation ait réussi ou non, je félicite le Premier ministre et le ministre de la Défense ainsi que les chefs des armés et surtout les opérateurs eux-mêmes » . Le Premier ministre Netanyahu a tenu à rappeller qu’ il n’y a toujours aucune certitude absolue que Daf ait été éliminé, le même « Daf, l’organisateur et leader du massacre du 07/10, ses mains sont couvertes du sang de nombreux Israéliens. La guerre ne prendra fin que si nous atteignons tous nos objectifs. Ces dernières semaines, nous avons identifié de profondes fissures au sein du Hamas. Nous ne sommes pas prêts à accepter la situation dans le nord, nous sommes déterminés à changer la réalité sécuritaire dans le nord pour des générations. Avant d’entrer à Rafah, j’ai dit au président Biden : il n’y a pas d’autre choix que d’entrer à Rafah et d’accroître la pression militaire »