C’est un de nos lecteurs qui nous a fait part de son séjour à l’hôpital Shaaré Tsedek de Jérusalem. Il a voulu témoigner contre les fausses accusations d’apartheid envers Israël.

Mr K. a été hospitalisé quelques jours dans l’hôpital Shaaré Tsedek de Jérusalem :

« Je viens de sortir de l’hôpital Shaaré Tsedek de Jérusalem, j’y suis resté une bonne semaine, et j’ai remarqué qu’il y avait de nombreux médecins palestiniens et aussi des responsables de service !

J’ai aussi remarqué que la plupart des patients étaient aussi palestiniens et, avaient le ton assez haut envers les personnel médical, et ne semblaient pas dans une situation de soumission à l’occupant comme on accuse à tort Israël  » 

Mr K. ajoute :  » Comment le monde peut-il parler d’apartheid envers ces gens,  je dispose de photos que vous pourrez voir sur Alyaexpress-News. Comment le monde peut-il critiquer Israël qui pratiquerait l’apartheid, alors que dans nos hôpitaux, ils ce conduisent comme des conquérants, ils sont médecins et infirmiers. Il y a même des chefs de service, sans parler des patients qui hurlent à longueur de journée avec les gosses qui courent dans tous les sens, et qui ne vous laisse pas dormir. C’est cela de l’apartheid ! J’aimerais passer un séjour dans un hôpital à Ramallah, juste pour comparer les deux situations. »

 

Un palestinien ou un arabe israélien, arrive avec ses deux femmes… Qui a dit que les palestiniens ne sont pas soignés et vivent cloitrés dans leur souffrance ? Cette femme est médecin, et elle n’est pas juive comme vous pouvez le constater…apartheid quand tu nous fait tourner la tête… Celle ci aussi…

En Israël, il n y a pas d’apartheid, imaginez ce qu’ont vécu les noirs pendant l’esclavage, ou ce que vivent en ce moment les Syriens, ou les Iraniens, et vous pourrez rapidement comprendre que la désinformation sert l’antisémitisme et l’antisionisme contre les Juifs de France et d’Israël.

 

1 COMMENTAIRE

  1. les deux dernières photos ne montrent pas, à mon avis,deux femmes médecins. C’est exactement la même personne, une fois de face, l’autre de profil.