Un nouveau rapport des Nations Unies interne de la commission d’éthique a révélé des violations à l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés de Palestine et l’organisation du travail.

Le Comité de déontologie des Nations Unies a enquêté sur une affaire, concernant un suspect étant soupçonné d’actes prohibés, y compris le secrétaire général de l’organisation, Pierre Krähenbühl. Il entretenait une relation amoureuse avec l’une des employés du bureau central, il l’a donc emmenée avec lui en voyage d’affaires en classe affaires aux frais de l’agence.

Les dirigeants de l’UNRWA sont accusés de «réprimer la dissidence, le népotisme, l’abus de pouvoir à des fins personnelles, l’inconduite sexuelle et la répression».

Le rapport a été soumis en décembre, mais ce n’est que maintenant que l’on en a eu connaissance.

Pierre Krahenbühl a déclaré que tant que l’enquête était en cours, il ne pouvait pas en parler, mais l’année dernière, l’Agence pour les réfugiés de Palestine a travaillé dans des conditions de crise financière sans précédent. En 2018, les États-Unis ont cessé de financer l’organisation.

L’administration présidentielle américaine et Israël accusent l’UNRWA de perpétuer le conflit israélo-palestinien en accordant le statut de réfugié aux millions de descendants de Palestiniens qui ont quitté le pays en 1948.

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Information pas étonnante pour Israël, car cette organisation soutient le Hamas à Gaza.