Apres qu’une loi soit en route en Pologne annonçant que le peuple polonais n’ait aucunement responsable de la mort des Juifs pendants la Shoah , cette décision a entrainé une condamnation unanime en Israel mais une nouvelle provocation de ce même pays a choqué le peuple juif :
Le Premier ministre polonais, Mateusz Morawiecki a pris la parole lors de la cérémonie du jour du Souvenir de l’Holocauste à Auschwitz et a affirmé que la contribution de la Pologne aux Juifs de l’Holocauste était censuré.
‘Sur l’Avenue de Yad Vashem, il y a des arbres de Justes parmi toutes les Nations, mais il manque un seul arbre, l’arbre pour l’Etat polonais’, a-t-il dit.
La Pologne a été l’un des pays les plus cruels envers les Juifs ou les résidents locaux ont agit activement et avec un grand zèle dans la tuerie des Juifs en aidant les Nazis dans les Ghettos et les camps de concentration.
Pour rappel, la Pologne a voté pour les amendements à l’Institut de la loi nationale du Souvenir, qui criminalise l’ « attribution de la responsabilité du peuple polonais et de l’Etat ou de complicité dans les crimes commis par le IIIe Reich. »
La nouvelle norme menace d’amendes et d’emprisonnement pouvant aller jusqu’à trois ans pour l’utilisation de l’expression « camps de la mort polonais » et toute tentative d’attribuer à la complicité des Polonais dans des crimes nazis, ainsi que la négation du « génocide des Juifs et des Polonais en Volhynie de l’Armée insurrectionnelle ukrainienne (UPA). »
La «vérité historique» dans l’interprétation du «parti de droit et de justice» nationaliste au pouvoir est que pendant la guerre les Polonais étaient exclusivement victimes d’autres crimes, et les doutes sur cette «vérité d’état» devenaient une offense criminelle. Certes, la loi exempte la responsabilité pénale des scientifiques et des créateurs d’œuvres d’art.
L’adoption de la loi est la bienvenue en Russie, mais en Ukraine voisine est perçue comme une démarche hostile « menaçant de mettre fin à la coopération des historiens polonais et ukrainiens ».