Le Procureur argentin Alberto Nisman a été assassiné pour avoir insisté dans ses recherches  concernant le  massacre juif en Argentine,  l’Iran était responsable de l’assassinat de sang-froid de 85 hommes, femmes et enfants dans le bâtiment du centre communautaire juif AMIA à Buenos Aires en 1994.

Selon des sources diplomatiques occidentales ,  l’administration du président Barack Obama a exhorté l’Argentine à plusieurs reprises d’arrêter ou limiter l’enquête sur l’attentat contre l’Association mutuelle israélo-argentine à Buenos Aires. Les sources ont indiqué les appels américains marqués l’une des demandes de l’Iran pour un rapprochement avec Washington, selon Middle East Newsline.

Nisman, qui avait déposé un rapport alléguant la responsabilité de la présidente argentine Cristina Kirchner, du  ministre des Affaires étrangères Hector Timerman et d’autres fonctionnaires qui ont conspiré pour dissimuler l’implication de l’Iran dans le massacre. Le procureur a été assassiné la veille qu’il devait présenter ses conclusions au Congrès de l’Argentine. Le gouvernement argentin a revendiqué d’abord un suicide. Mais les gens honnêtes savent qu’il a été assassiné et probablement par des agents iraniens avec la complicité des agents de police argentins qui étaient censés le protéger.

Pour rappel, 74 % des juifs américains ont voté pour Barack Obama lors de sa première candidature présidentielle. Bien que ce nombre était légèrement inférieur la seconde fois. La communauté juive américaine ne fait pas l’auto-examen face à l’hostilité évidente d’Obama pour les Juifs et Israël, une preuve supplémentaire que les juifs qui se substitut aux politiques progressistes pour le judaïsme vont invariablement devenir des complices de la persécution du peuple juif.

Selon le site Worldtribune.com :

Les États-Unis ont soutenu l’Argentine pour mettre fin à l’ enquête sur la complicité iranienne dans le bombardement d’un centre juif dans lequel près de 100 personnes ont été tuées en 1994.

Des sources diplomatiques occidentales de l’administration du président Barack Obama ont exhorté l’Argentine à plusieurs reprises de stopper ou limiter l’enquête sur l’attentat contre l’ Association mutuelle juive à Buenos Aires.

« L’Argentine avait des preuves tangibles contre au moins un dirigeant iranien », a déclaré une source.

Un suspect iranien identifié comme étant Ali Akhbar Velayati, ministre des Affaires étrangères de 1981 à 1987, et considéré comme proche du Guide suprême Ali Khamenei. Velayati etait sur la liste officielle d’Interpol  depuis 2007 et un objet d’un mandat d’arrêt international par l’Argentine.

« Au bout de quelques mois, les Etats-Unis ont organisé une réunion de haut niveau dans lequel ils ont demandé à l’Argentine de fermer l’affaire. »

Les sources ont indiqué que Buenos Aires a finalement respecté. En 2013, l’Argentine et l’Iran ont signé un accord pour une enquête conjointe de l’attentat de l’AMIA.

Le 18 janvier, un procureur argentin leader chargé d’enquêter sur un gouvernement allégué sur l’AMIA a été trouvé mort dans sa maison. Le procureur, Alberto Nisman, avait prévu de comparaître devant le Congrès et a présenté des preuves que la présidente Cristina Kirchner et ministre des Affaires étrangères Hector Timerman à Téhéran dans le cadre de l’attentat.

« [Ils] ont pris la décision criminelle d’inventer l’innocence de l’Iran et satisfaire des intérêts commerciaux, politiques et géopolitiques de la République argentine, » selon le rapport de la page 289 de Nisman ZL.

Il n’est pas clair si le rapport contenait des éléments attestant l’intervention américaine dans le complot présumé visant à effacer les Iraniens.  Nisman, nommé en 2005, avait présenté des preuves comme quoi l’Iran a parrainé le bombardement, mené par son mandataire principal, le Hezbollah.

Le 21 janvier, le classement démocrate de la commission sénatoriale des affaires étrangères a déclaré que M. Obama est devenu le premier défenseur de l’Iran. Le sénateur Robert Menendez a suggéré que l’administration a coordonné avec Téhéran dans les efforts pour nous empêcher des sanctions à l’Iran …