Omer Adam et Yael Shalbiya Ă  nouveau rĂ©unis : une dĂ©marche commune au service de l’unitĂ© et de l’image d’IsraĂ«l

Le monde du divertissement israĂ©lien a connu un moment fort ce mois-ci : Omer Adam, icĂŽne de la musique populaire, et Yael Shalbiya, mannequin et actrice internationalement reconnue, sont apparus ensemble Ă  nouveau dans une campagne culturelle majeure. Leur dĂ©marche commune n’est pas une simple opĂ©ration mĂ©diatique : elle s’inscrit dans un contexte social et politique tendu, et vise Ă  renforcer la cohĂ©sion nationale et l’image d’IsraĂ«l Ă  l’international.

Loin des paillettes habituelles, leur message est clair : l’unitĂ©, la rĂ©silience et la fiertĂ© israĂ©lienne doivent primer, mĂȘme (et surtout) en temps de guerre.


Deux figures emblĂ©matiques d’un IsraĂ«l moderne et confiant

Omer Adam, nĂ© de parents issus du monde sĂ©farade et d’ascendance militaire, incarne la voix du peuple : ses chansons mĂȘlent musique orientale, pop et patriotisme. Sa popularitĂ© transcende les clivages religieux, ethniques et politiques.

Yael Shalbiya, quant à elle, est connue pour avoir représenté Israël dans le monde de la mode (Elite Model Look), et avoir figuré dans le classement mondial des plus beaux visages. Mais au-delà de la beauté, elle incarne une jeunesse israélienne ambitieuse, fiÚre, enracinée et ouverte sur le monde.

Leur retour ensemble dans une initiative publique n’est pas anodin : il envoie un message d’unitĂ©, de normalitĂ©, et de rayonnement culturel, au moment mĂȘme oĂč IsraĂ«l est confrontĂ© Ă  une campagne de dĂ©lĂ©gitimation sans prĂ©cĂ©dent.


Une campagne pour l’unitĂ© nationale et le moral civil

La campagne qui les rĂ©unit vise Ă  promouvoir l’unitĂ© nationale israĂ©lienne, dans un climat tendu :

  • La guerre contre le Hamas, toujours en cours.
  • Les tensions politiques internes sur les questions de sĂ©curitĂ© et de religion.
  • L’isolement diplomatique croissant dans certaines institutions internationales.

PlutĂŽt que de rĂ©agir par la dĂ©fense ou le silence, Omer Adam et Yael Shalbiya ont choisi de parler au cƓur du peuple israĂ©lien :

  • À travers des clips mettant en avant la diversitĂ© du pays : Juifs et Arabes, religieux et laĂŻcs, soldats et civils.
  • En chantant ensemble un hymne Ă  la fraternitĂ© intitulĂ© « Beyahad Nenatzeach » (Ensemble, nous vaincrons).
  • En rendant visite Ă  des soldats blessĂ©s, Ă  des familles d’otages, et Ă  des jeunes en difficultĂ© dans le sud du pays.

Ce n’est pas du divertissement : c’est une dĂ©claration d’amour Ă  IsraĂ«l, faite depuis le cƓur de sa culture populaire.


L’impact sur la diaspora et l’image d’IsraĂ«l Ă  l’étranger

Les communautĂ©s juives du monde entier, souvent prises dans des dĂ©bats tendus sur IsraĂ«l, ont saluĂ© cette initiative comme un souffle d’espoir. En particulier :

  • Les jeunes juifs de diaspora, souvent confrontĂ©s Ă  des campagnes BDS sur les campus, se retrouvent dans des figures modernes, fiĂšres et rayonnantes.
  • Les non-juifs curieux d’IsraĂ«l dĂ©couvrent un pays vivant, crĂ©atif et chaleureux, loin des caricatures mĂ©diatiques.

Des millions de vues sur YouTube, des relais massifs sur Instagram, TikTok et X (ex-Twitter) : cette campagne, par son format accessible et positif, a un effet bien plus fort que bien des discours diplomatiques.


Une rĂ©ponse culturelle Ă  la guerre de l’image

Depuis le 7 octobre 2023, IsraĂ«l est engagĂ© dans une guerre militaire, mais aussi une guerre de l’image. Le Hamas, maĂźtre de la manipulation mĂ©diatique, tente de prĂ©senter IsraĂ«l comme un agresseur, en masquant ses propres crimes.

Dans cette bataille, la culture devient un champ de combat stratégique.

  • Montrer un IsraĂ«l authentique, humain, divers, est un acte politique.
  • Omer Adam et Yael Shalbiya, par leur naturel, leur sincĂ©ritĂ© et leur engagement, montrent ce qu’aucune propagande ne peut effacer : la dignitĂ© d’un peuple qui veut vivre.

Ils ne sont pas « les visages de la hasbara » (propagande israélienne), mais les visages de la réalité.


Leur message : fierté, solidarité et espoir

Dans plusieurs interviews, Omer Adam a rappelĂ© que « le chant est notre façon de guĂ©rir, d’unir et de rĂ©sister. » Pour lui, la musique est un pont entre les communautĂ©s et un rempart contre la haine.

Yael Shalbiya, elle, a insistĂ© sur le rĂŽle des femmes dans le renforcement du tissu social israĂ©lien. Elle a visitĂ© des foyers pour mĂšres seules, des bases militaires oĂč servent des soldates, et des Ă©coles pour filles dans les rĂ©gions pĂ©riphĂ©riques. Son message :

« Être IsraĂ©lienne, c’est porter la lumiĂšre mĂȘme quand il fait nuit autour. »


Une culture populaire au service de la nation

IsraĂ«l a toujours Ă©tĂ© un pays oĂč la culture est un outil de rĂ©sistance. DĂšs les premiĂšres guerres, les soldats chantaient dans les tranchĂ©es, les poĂštes composaient des hymnes patriotiques, et les artistes mobilisaient les consciences.

Omer Adam et Yael Shalbiya s’inscrivent dans cette tradition :

  • Ils ne fuient pas leur pays quand il est attaquĂ©.
  • Ils n’hĂ©sitent pas Ă  prendre position, mĂȘme au prix de critiques.
  • Ils rassemblent plutĂŽt que diviser.

Dans un monde de superficialité, leur engagement est profond, sincÚre et inspirant.

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Une jeunesse israélienne debout, malgré tout

La prĂ©sence de ces deux personnalitĂ©s dans l’espace public rappelle que la jeunesse israĂ©lienne n’est ni dĂ©sabusĂ©e ni passive.

Elle :

  • S’engage dans l’armĂ©e, dans les ONG, dans la tech, dans la culture.
  • Participe Ă  la vie dĂ©mocratique, souvent bruyamment, mais toujours avec passion.
  • Refuse de renoncer Ă  la normalitĂ©, mĂȘme sous les roquettes.

Omer Adam et Yael Shalbiya ne sont pas des exceptions. Ils sont les symboles d’une gĂ©nĂ©ration fiĂšre, enracinĂ©e, et tournĂ©e vers l’avenir.


Conclusion : la culture comme rempart contre la haine

Dans un contexte oĂč IsraĂ«l est souvent attaquĂ©, caricaturĂ©, isolĂ©, la voix des artistes prend une dimension nouvelle. Elle devient :

  • Un acte de courage.
  • Un vecteur de cohĂ©sion.
  • Un levier de rayonnement international.

Omer Adam et Yael Shalbiya, par leur talent, leur courage et leur amour d’IsraĂ«l, offrent bien plus qu’un duo artistique : ils offrent un modĂšle d’unitĂ©, d’inspiration, et de fiertĂ©.

Et à travers eux, c’est tout un peuple qui dit :
« Nous ne baisserons ni la tĂȘte, ni le volume. Nous chanterons encore, et plus fort que la haine. »


RĂ©daction francophone Infos Israel News pour l’actualitĂ© israĂ©lienne
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