OMS et Gaza : quand la santé devient une arme politique contre Israël

Samedi, le directeur général de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, a publié un message solennel sur X : selon lui, « plus de 15 600 patients, dont 3 800 enfants, ont besoin de soins spécialisés » à Gaza. Il appelle à « intensifier les évacuations médicales » et réclame une fois de plus un cessez-le-feu.

Le message est calibré : chiffres massifs, tonalité dramatique, et accusation implicite contre Israël. Mais derrière ces appels humanitaires se cache une réalité bien moins reluisante.

La vraie question : qui empêche les évacuations ?

Israël a ouvert à plusieurs reprises des couloirs humanitaires pour permettre l’évacuation de malades et blessés vers l’Égypte, Chypre ou encore les Émirats. Des centaines de patients ont déjà été transférés, sous coordination de Tsahal et d’ONG étrangères.
➡️ Le problème, ce n’est pas Israël. Ce sont le Hamas et le Jihad islamique, qui utilisent les hôpitaux comme bases militaires, empêchent des civils de sortir, et s’approprient les convois pour évacuer leurs propres combattants.

Autrement dit, chaque ambulance devient un champ de bataille : Israël est obligé de contrôler les évacuations pour éviter que des terroristes armés ne se glissent parmi les blessés.

L’OMS, une institution politisée

L’OMS n’est pas neutre. Sous la direction de Tedros, elle s’est déjà distinguée par sa complaisance envers la Chine lors du Covid-19. Aujourd’hui, elle reprend sans sourciller les chiffres fournis par le ministère de la Santé du Hamas, une administration terroriste.
Quand l’OMS parle de « 15 600 patients », personne ne sait combien sont réellement des civils innocents, et combien sont des combattants blessés qui continuent d’utiliser les infrastructures médicales comme boucliers.

L’arme humanitaire

La demande de « cessez-le-feu » de l’OMS n’est pas anodine. Elle rejoint le narratif des ONG pro-palestiniennes et du Hamas lui-même : arrêter l’offensive israélienne, sauver l’organisation terroriste de l’effondrement et lui permettre de se reconstituer. Derrière l’humanitaire, il y a une bataille politique : transformer Israël en bourreau, et blanchir le Hamas de ses crimes.

Israël continue d’apporter l’aide

Pendant que Tedros tweete, Israël continue d’autoriser l’entrée de nourriture, de médicaments et de carburant. Des dizaines de camions franchissent chaque jour les points de passage, sous le contrôle de Tsahal. Israël a même participé à l’installation d’hôpitaux de campagne en coopération avec les Émirats, la Jordanie et d’autres partenaires. Mais cela ne fait pas les gros titres.

Conclusion : la santé prise en otage

Les patients de Gaza méritent des soins, c’est une évidence. Mais que l’OMS ose accuser Israël en fermant les yeux sur le véritable obstacle — le Hamas —, voilà le scandale.
Car la seule vraie « évacuation médicale » dont Gaza a besoin, c’est celle des terroristes hors des hôpitaux, hors des écoles, hors des mosquées. Tant que ce n’est pas fait, chaque appel de l’OMS sonne comme un écho de la propagande du Hamas.


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