La page Facebook du Fatah dirigé par son président palestinien Mahmoud Abbas a affirmé que son parti a « tué 11.000 Israéliens ».
En outre, le Fatah a également affirmé avoir « offert 170.000 martyrs» et que des centaines de ses partisans étaient dans «les prisons de l’occupation israélienne».
- Le Fatah a tué 11.000 Israéliens
- Le Fatah a sacrifié 170.000 martyrs (shahid)…
- Le Fatah a été le premier à effectuer des opérations (c.-à-attaques terroristes) lors de la première Intifada (violence palestinienne et terreur contre Israël, 1988-1993), et il a été la première faction palestinienne à atteindre le réacteur nucléaire de Dimona (1988, assassiner 3 mères qui travaillent sur le chemin de l’usine de Dimona)
- Le Fatah a été le premier à se battre dans la seconde Intifada (campagne de terreur 2000-2005 – Baha Al-Sa’id, un officier des Forces de sécurité a infiltré un yichouv à la frontière avec Gaza)
- Le Fatah a été le premier à vaincre l’ennemi sioniste (bataille d’El-Karameh)
- Le Fatah a mené l’attaque palestinienne contre Israël à l’ONU ».
L’attaque de bus des mères– Le 7 Mars, 1988, 3 terroristes du Fatah ont détourné un bus transportant des travailleurs du Centre de recherche nucléaire du Néguev à Dimona, et assassiné 3 civils – Miriam Ben-Yair, Rina Shiratky et Victor Ram. L’attaque est appelée le Bus des mères parce que la plupart des passagers étaient des mères qui travaillaient. Les terroristes ont tous été tués par une unité de contre-terrorisme de la police israélienne qui a pris d’assaut le bus.
Baha Sa’id – était un terroriste dans les Comités de résistance populaire. Le 18 novembre 2000, il a infiltré la communauté de Kfar Darom dans la bande de Gaza, et tué deux soldats israéliens, Snir Flum et Sharon Shitoubi. Shitoubi a abattu le terroriste, puis il est décédé de ses blessures.
La bataille de Karameh, ou Al-Karameh – En 1968, les forces de l’armée israélienne ont attaqué le village d’Al-Karameh en Jordanie, où les terroristes du Fatah lançaient des attaques contre Israël. Arafat a utilisé l’événement à des fins de propagande, en déclarant une grande victoire pour effacer la honte de la défaite de la Guerre des Six Jours en 1967.
En dépit d’être respecté par de nombreux leaders mondiaux comme une alternative «modérée» à son rival du Hamas, groupe terroriste palestinien qui contrôle la bande de Gaza, les dirigeants israéliens ont longtemps accusé Abbas et son parti, le Fatah, d’incitation à la violence et au terrorisme.
Ces nouveaux chiffres donnés par le Fatah sont une tentative de renforcer son pouvoir anti-Israélien avant les élections municipales palestiniennes prévues pour le 8 Octobre face au Hamas.
Et la France ose dire encore à Israël de négocier la paix…
