Pendant que BDS s’efforce en Europe de faire passer Israël pour un pays dictatorial, qui vole la terre de la Palestine, les palestiniens perdent leur emplois car les entreprises israéliennes comme le cas de Sodastream quittent la région pour ne plus être boycotté en Europe et des centaines de palestiniens n’ont plus d’emplois pour subvenir au besoins de leur famille.
Et pourtant Israël continue malgré tout et sans l’aide internationale a aider les palestiniens, afin de leur donner les moyens de vivre avec décence, loin de l’islam radical du Fatah et du Hamas, qui prélèvent des taxes sur leurs employés.
Hier, le ministre de l’Economie Moshe Kahlon et ministre de la construction et du logement, Yoav Galant, ont accepté une décision du Cabinet visant à augmenter le quota des travailleurs palestiniens en Israël de 22.000 personnes. La proposition a été coordonnée avec le ministère de la Défense.
La proposition vise à améliorer la répartition des travailleurs palestiniens de Judée-Samarie employés en Israël, et maintenir des conditions d’emploi équitables pour les travailleurs palestiniens dans la construction, l’industrie et l’agriculture.
Les principaux points de la proposition sont une augmentation de 9,300 dans le permis de travail pour l’industrie de la construction, soit une augmentation de 3.500 permis de travail pour l’agriculture et une augmentation de 2.200 permis de travail pour l’industrie.
Par conséquent, la proposition facilite considérablement les réglementations régissant l’emploi des travailleurs palestiniens. Les règlements limitent actuellement le nombre de travailleurs dans chaque entreprise qui a le droit d’utiliser un certain nombre de travailleurs qui doivent se déplacer d’un entrepreneur à l’autre.
Les entrepreneurs et les travailleurs seront en mesure d’embaucher ou être embauchés librement entre eux, d’informer les autorités de l’État régulièrement sur l’endroit où les travailleurs sont employés.
Selon la proposition, une équipe de mise en œuvre sera formée pour utiliser l’Internet et assurer les salaires nets des Palestiniens qui vont correspondre à la déclaration des salaires réels. Cela contraste avec la situation actuelle, où les salaires sont payés en espèces avec aucun moyen de contrôler le paiement des salaires.
Les paiements non déclarés aux travailleurs palestiniens sont estimés à trois milliards de dollars par an.
Cette proposition donnera plus de certitude aux entrepreneurs qui peuvent maintenant embaucher des travailleurs sans restrictions de quotas, tandis que de l’autre côté, les changements vont éliminer les permis de circulation des travailleurs et des quotas des travailleurs palestiniens rémunérés sera à la hauteur de dizaines de milliers de shekels.