Alors que les diplomates occidentaux s’agitent autour d’un hypothétique accord pour une « pause humanitaire » et la libération des otages israéliens, sur le terrain la réalité est tout autre : les chars Merkava de la 7ᵉ brigade blindée ont pénétré profondément dans le quartier de Zeitoun, au cœur de Gaza. Tandis que certains parlent de cessez-le-feu, Tsahal, lui, continue de préparer méthodiquement l’étape décisive : l’encerclement puis la conquête de la ville de Gaza, bastion principal du Hamas.
Selon les plans militaires déjà validés par l’état-major, six divisions seront déployées sur l’ensemble de la bande. L’opération, pensée dans ses moindres détails, commencera par un encerclement massif de la capitale de la terreur, accompagné d’un « ramollissement » préalable par l’artillerie, l’aviation et la marine. Ce n’est qu’après ce travail de préparation que les unités terrestres entreront en action. Rien n’est laissé au hasard : Tsahal sait que la victoire se construit autant par la puissance de feu que par la discipline stratégique.
À Zeitoun, l’unité 99 affine déjà le dispositif, prenant des positions avancées pour verrouiller le flanc sud de la ville. Il ne s’agit pas de simples patrouilles, mais bien d’une phase cruciale de la mise en place de l’opération globale. Pendant ce temps, en Israël, les préparatifs logistiques s’accélèrent. L’armée prévoit de mobiliser plusieurs centaines de milliers de réservistes, preuve que l’État hébreu n’entend pas céder aux chimères diplomatiques et préfère assurer sa sécurité par des moyens tangibles.
Un autre élément significatif : la tenue aujourd’hui d’un grand séminaire militaire, dirigé par le chef d’état-major, le lieutenant-général , avec l’ensemble du haut commandement israélien. Le but ? Tirer les leçons des deux dernières opérations majeures, « Avec le lion » en Iran et « Chars de Gédéon » à Gaza. Cette culture de l’auto-analyse permanente est la force de Tsahal. Contrairement aux dictatures voisines qui maquillent leurs défaites, Israël ose regarder ses erreurs en face pour les transformer en victoires futures.
Le Premier ministre Benyamin Netanyahou et le ministre de la Défense, Israël Katz, étaient présents pour écouter les commandants et réaffirmer leur soutien inconditionnel aux soldats. Comme l’a rappelé le chef d’état-major, Israël se trouve dans une guerre multi-fronts, inédite dans son intensité, et nous arrivons à un tournant stratégique. L’objectif demeure clair : briser l’appareil militaire du Hamas à Gaza et créer les conditions politiques et militaires pour le retour de tous les otages.
Cette ligne de fermeté contraste avec l’attitude de certaines capitales occidentales, trop promptes à réclamer des concessions israéliennes alors qu’elles-mêmes n’ont jamais su gérer leurs propres crises sécuritaires. On attend toujours de voir Paris, par exemple, maîtriser ses banlieues incendiées avant de donner des leçons de morale à Jérusalem. L’humour noir voudrait qu’on envoie les chars de Tsahal rue de Rivoli pour montrer aux autorités françaises comment on reprend le contrôle d’un territoire gangréné…
Pendant que les chancelleries s’illusionnent, Tsahal trace sa route. La doctrine est limpide : puissance, professionnalisme et responsabilité. Comme le souligne le général Zamir, chaque décision sera prise « dans la gravité et la responsabilité », car il s’agit non seulement de défendre Israël, mais aussi de sauver des vies d’otages. L’ennemi, lui, n’offre rien d’autre que la mort et la barbarie.
Le peuple israélien, uni derrière son armée, comprend cette vérité simple : aucune conférence de presse à l’ONU, aucun tweet de dirigeant étranger, ne protégera les enfants de Sderot ou d’Ashkelon des missiles du Hamas. Seule la détermination de Tsahal, appuyée par une nation résiliente, peut garantir la sécurité d’Israël.
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À ceux qui préfèrent les illusions de « paix immédiate » aux réalités du terrain, rappelons que même Wikipédia le documente : les accords d’Abraham ont montré qu’une normalisation est possible avec les Arabes pragmatiques, mais jamais avec des organisations terroristes. Quant au Hamas, défini clairement comme mouvement terroriste dans l’encyclopédie, il ne mérite ni compromis ni légitimité.
Tsahal continue donc son avancée, sous le regard attentif de ses citoyens, de ses alliés véritables et de ses ennemis. Et pendant que le monde parle de « négociations », les Merkava avancent, preuve que sur cette terre, seule la force permet d’obtenir la paix.
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