🟦 Par Infos Israel News
🕊️ 23 juin 2025 | Jérusalem

 

Mises à jour – 23 juin 2025, matin :

  • 11h55Déclaration du ministre israélien de la Défense :
    « Tsahal frappe actuellement, avec une intensité sans précédent, des cibles du régime et des organes de répression à Téhéran. Chaque tir vers l’arrière israélien entraînera une punition directe contre le dictateur iranien. Les frappes continueront à pleine intensité. »
  • 11h58Des images montrent les panaches de fumée dominant l’horizon de Téhéran.
  • 12h09La prison d’Evin visée : Les portes du centre pénitentiaire emblématique, connu pour la détention d’opposants au régime, ont été attaquées. Des postes de garde ont également été ciblés depuis les airs.
  • 12h11La base des Gardiens de la révolution à Karaj a été frappée.
  • 12h12Le siège de la radiotélévision d’État iranienne a été touché.
  • 12h14Nouvelles images diffusées depuis Karaj, théâtre d’intenses bombardements.
  • 12h14Le quartier de Zafar, à Téhéran, a été touché.
  • 12h15Le ministère iranien de l’Énergie à Téhéran a subi une frappe.
  • 12h16Des frappes ont été signalées dans l’ouest de Téhéran.
  • 12h20Selon des sources iraniennes, l’université Shahid Beheshti de sciences médicales à Téhéran aurait été « fortement endommagée » à la suite d’une attaque israélienne.
  • 12h21Nouveaux témoignages de frappes dans divers quartiers de Téhéran.
  • 12h23Selon des rapports iraniens, Israël aurait également frappé le site nucléaire de Fordow.

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Les cieux de Téhéran ont été embrasés ce matin par une vague de frappes sans précédent. Pour la première fois depuis le début de l’opération « Am Kalavi », l’armée israélienne, en coordination étroite avec ses alliés, a porté la guerre au cœur même du pouvoir iranien, visant des symboles militaires et sécuritaires du régime des mollahs.

Plusieurs explosions ont été signalées simultanément dans des points stratégiques de la capitale iranienne : près du quartier général de la police, autour des installations des Gardiens de la Révolution sur l’autoroute Chamran, dans les environs du bâtiment de la télévision d’État à Vanak, et même près du palais présidentiel de Saadabad. Les habitants de Karaj et du centre de Téhéran ont rapporté une succession de détonations lourdes, des incendies visibles à des kilomètres, et une panique généralisée.

Selon des sources militaires israéliennes, il s’agit de représailles directes à de nouveaux tirs balistiques iraniens interceptés la nuit dernière au-dessus du centre d’Israël. Cette fois-ci, le ministre israélien de la Défense a confirmé que « les cibles ne seront plus seulement les installations militaires, mais aussi les organes de répression et les centres de pouvoir du régime dictatorial ».

Une stratégie de dissuasion par la puissance

Après des semaines d’opérations chirurgicales en profondeur en Iran, ciblant des bases de missiles, des sites de commandement et les infrastructures du programme nucléaire, Israël élargit maintenant le périmètre de ses frappes à des objectifs politiques. Le message est clair : toute attaque contre des civils israéliens sera punie au plus haut niveau du pouvoir iranien.

Un haut gradé de Tsahal a confié anonymement :

« Ce n’est plus une question de réponse militaire. C’est une mise en garde au sommet du régime : nous savons où vous êtes, et nous savons comment frapper. »

Tentative d’assassinat ? Les spéculations montent

Des sources ouvertes font état d’une tentative d’élimination ciblée à l’aide de bombes pénétrantes (type bunker-buster), dans une zone sensible de Téhéran. Si les cibles précises ne sont pas confirmées officiellement, plusieurs analystes estiment qu’il s’agirait de hauts commandants des Gardiens de la Révolution ou de membres influents du ministère du Renseignement.

Un post sur les réseaux iraniens a laissé entendre que certaines « cibles prioritaires » avaient quitté leurs domiciles deux heures avant l’attaque, mais que, paradoxalement, leur regroupement ailleurs aurait facilité la frappe. « Une seule bombe a permis d’en éliminer plusieurs », selon une source israélienne.

Une capitale sans défense

Les témoignages des résidents font état de cieux désertés par la défense aérienne, incapable de réagir à temps. Des drones et avions israéliens auraient pénétré l’espace aérien iranien avec une facilité déconcertante, révélant au grand jour la vulnérabilité du système de défense iranien.

Le slogan circulant ce matin sur les canaux Telegram iraniens anti-régime est éloquent :

« Les cieux de Téhéran sont sans défense, et le régime aussi. »

Israël : un changement stratégique assumé

La déclaration du ministre de la Défense israélien marque un changement net :

« Pour chaque roquette tirée sur notre arrière, le dictateur iranien sera puni personnellement. »

Ce langage vise autant à dissuader qu’à exposer une réalité géopolitique nouvelle : Israël n’a plus peur d’assumer la responsabilité de ses frappes, même dans les centres urbains de l’ennemi. Cette audace stratégique reflète une confiance renforcée, tant sur le plan militaire que diplomatique.

Une escalade maîtrisée ou l’aube d’un renversement ?

Alors que les frappes se poursuivent, la question d’un effondrement progressif du régime de Téhéran n’est plus taboue. L’impact psychologique sur la population iranienne – qui voit pour la première fois des institutions du pouvoir ciblées – est profond. Les manifestations sporadiques, déjà visibles depuis des semaines, pourraient s’intensifier.

En Israël, l’analyse est prudente. Un officiel du cabinet sécuritaire explique :

« Nous ne cherchons pas à provoquer un changement de régime par nos frappes. Mais si cela en résulte, ce sera la conséquence directe des erreurs du régime lui-même. »

Conclusion : une journée qui marquera l’Histoire

La date du 23 juin 2025 restera peut-être comme celle où Téhéran a vacillé. Pour Israël, l’opération « Am Kalavi » démontre chaque jour son efficacité : destruction du programme nucléaire, élimination de hauts commandants, isolement diplomatique croissant de l’Iran – et désormais, une démonstration de force en plein cœur de la capitale ennemie.

Le général Herzi Halevi, chef d’état-major de Tsahal, aurait déclaré ce matin à ses officiers :

« L’épée d’Israël frappe fort et juste. La peur doit changer de camp. »


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📍 Jérusalem | Mise à jour 23/06/2025 à 13h30

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